L'Amour et la Terre

Cette histoire est une fiction qui concerne du sexe entre deux jeunes adultes Я la campagne. Si vous n'Жtes pas d'accord avec le sujet, ne la lisez pas. Mais si уa vous intжresse, je suis ouvert a toute remarque ou suggestion.

This story is a fiction about sex in the countryside between two consenting adults. If you disagree with the subject, don't read it. But if you're interested, I'm open to any comments or suggestions.

Exes

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L'AMOUR ET LA TERRE

Pour avoir de meilleures conditions de vie et ce, malgrж l'жloignement de mon lieu de travail, il y a quelques mois j'ai achetж une maison dans un bourg avec un terrain qui s'arrЖte oщ commencent les terres cultivжes par les agriculteurs. Juste au bout de mon champ il y a une vieille souche qui ne se dжsagrУge pas. Un jour je dжcide de la retirer pour poser une nouvelle clЗture. Juste Я cЗtж il y a un paysan sur son tracteur qui travaille son champ. De loin, nous nous жtions fait un signe amical puis chacun a жtж occupж par ses activitжs. Ca fait plus de deux heures que je m'жchine Я creuser et tirer sans arriver Я un rжsultat. Le paysan arrЖte son tracteur prУs de moi et en descend. C'est un jeune homme au dжbut de la vingtaine. Il a les cheveux d'un roux lumineux tirant sur le rouge avec des yeux bleu pРle. Il me tend la main en arborant un sourire jovial.

• Alors c'est vous qui avez achetж la maison du vieux Gaston ?

J'acquiesce et me prжsente. A son tour il me dit s'appeler Arnaud. Il habite dans la ferme de ses parents de l'autre cЗtж du bourg. Puis il me dit que уa le gЖne de me voir peiner sur cette vieille souche et me propose de l'arracher avec son tracteur. Cette idжe me soulage et je l'en remercie. Il va chercher des chaЬnes et me demande de l'aider Я les passer entre les racines que j'ai dжgagжes. Par deux fois, ses doigts frЗlent les miens avec insistance, ce qui me laisse perplexe. Fait-il exprУs ou est-ce que je prends des co№ncidences pour une rжalitж ?

Arnaud monte sur son tracteur et dжmarre. Les chaЬnes se tendent, la vieille souche craque, la terre bouge. Puis elle cУde d'un coup et d'жnormes racines sortent de terre en retournant le terrain sur un large pжrimУtre. Sans l'aide de ce jeune agriculteur, jamais je ne serais venu Я bout de cette tРche. Il arrЖte son tracteur et revient me voir en constatant que le morceau жtait bien plus gros qu'il l'aurait crч. Pour le remercier, je l'invite Я venir prendre un verre, ce qu'il accepte bien volontiers. Il charge la souche sur son tracteur et me suit vers la maison. Comme l'air est frais en ce dжbut de printemps, nous dжcidons de passer Я l'intжrieur. Il laisse soigneusement ses bottes toutes crottжes Я l'entrжe et жpoussУte la terre de sa cotte.

Une fois dedans, il regarde mes amжnagements. Quand il жtait plus jeune il жtait venu quelques fois voir l'ancien propriжtaire et me complimente sur les changements. Pendant que je prжpare deux biУres, il regarde un peu partout avec curiositж. J'en profite pour l'observer du coin de l'?il. Malgrж la cotte ample qu'il porte, je me rends compte qu'il est trУs mince. Par contre ses mains terreuses sont жtonnamment fortes par rapport Я sa stature. Avec un grand sourire amusж, il vient s'asseoir pour trinquer.

• Ca me fait plaisir d'avoir un voisin sympa. Dit-il en levant son verre. - Moi de mЖme et j'espУre que nous aurons d'autres occasions de trinquer.

AprУs une premiУre gorgжe, il dit qu'il a bien chaud. D'un geste rapide, il baisse la fermeture de sa cotte jusqu'Я la taille. Ce qui me permet de dжcouvrir un torse Я la peau laiteuse dжcorж d'un жpais buisson de poils roux en son milieu. Il voit mon regard et me rжvУle qu'il est le seul membre de sa famille Я Жtre rouquin. Il semble joyeux et parle avec dжcontraction de son travail et de sa vie Я la campagne. Je sens monter ma sympathie pour lui. Sans que je ne m'en rende compte, Arnaud baisse discrУtement la fermeture de sa cotte, puis il repousse sa chaise et s'appuie confortablement sur le dossier. C'est lЯ que je me rend compte que sa cotte est ouverte jusqu'en bas car mes yeux tombent sur une жpaisse toison pubienne d'un roux flamboyant qui dжborde de son slip. Il voit mon trouble car il жclate de rire.

• Tu aimes les roux ? me demande-t-il de but en blanc.

Un peu confus, je balbutie une rжponse complУtement Я cЗtж de sa question. Alors l'agriculteur se lУve et va prendre un magazine qu'il pose sur la table devant moi. Avec trouble je me rends compte que je n'avais pas planquж une revue porno qui ne laisse aucun doute sur mes prжfжrences sexuelles. Arnaud жclate de rire et se rassied en plongeant une main terreuse dans l'ouverture de sa cotte.

• Moi aussi j'aime les mecs, me dit-il en tripotant son sexe, et уa me fait plaisir de rencontrer quelqu'un comme moi dans mon bled parce que les gens d'ici sont plutЗt fermжs de ce cЗtж.

Mon stress retombe d'un coup. Je n'aurais jamais imaginж trouver aux portes de la campagne un mec de mon Рge qui soit homo. Du coup, je m'intжresse encore plus Я cet agriculteur avec qui j'aurais bien volontiers une expжrience. Il y a quelques annжes, j'avais baisж avec un rouquin qui m'avait laissж un souvenir agrжable. Arnaud a la mine rЖveuse tout en malaxant le contenu de sa braguette. De mon cЗtж, je sens une certaine excitation monter dans mon froc. Soudain Arnaud se lУve et s'approche de moi.

• Tu veux bien me faire une pipe, demande-t-il en sortant sa bite du slip, уa fait tellement longtemps que j'attends уa !

Je suis Я la fois interloquж et heureux de la tournure que prend notre relation. Arnaud a une tige fine mais trУs longue qui se termine par un gland en forme chapeau de champignon percж d'un trou trУs large. Tout comme pour le reste de son corps la peau de sa tige est fine et lжgУrement rosжe alors que son n?ud est violacж. Je tombe Я genoux pour rendre hommage Я ce beau membre. Lentement Arnaud se pousse entre mes lУvres. La taille de son gland est impressionnante. Je le sens entrer de plus en plus profondжment dans ma bouche. L'odeur caractжristique des rouquins qui жmane de son pubis me rappelle ma prжcжdente baise avec le mec aux poils roux.

Depuis quelques minutes, je suce avec application la tige du jeune agriculteur. J'ai sorti ses couilles pour les tripoter entre mes doigts. Ce traitement semble lui plaire car il soupire de plus en plus profondжment. La duretж de son paf est inimaginable. Il me semble avoir en bouche un manche enveloppж d'une membrane souple. Sans prжvenir, le rouquin pose ses deux mains sur ma nuque et me plaque le visage contre son pubis. Sa bite est passжe au-delЯ de mes amygdales et me fait suffoquer. Je la sens agitжe de spasmes pendant qu'il dжcharge dans mon arriУre-gorge. Avec un rРle de bien-Жtre Arnaud vide sa prostate dans mon ?sophage tout en pressant mon nez dans ses odorants poils pubiens.

• Putain que c'est bon ! s'exclame-t-il en se retirant.

Je suis suant et bavant aprУs ce bРillon. Il m'aide Я me relever et dжfait ma ceinture puis baisse mon jeans. Avec un sifflement il constate que je bande autant que lui. Sa grosse main rРpeuse et tachжe de terre palpe ma bite et mes couilles.

• Tu es vachement bien жquipж, constate-t-il.

Il se glisse derriУre moi et commence Я me branler. Je vois sa grosse main sale me secouer la tige pendant que de l'autre, il malaxe mes couilles. Je suis dжjЯ tellement excitж qu'il ne doit pas me branler longtemps avant que je lРche la sauce dans ses doigts. Je dжfaille avec un rРle жtouffж en m'appuyant sur lui jusqu'Я ce que je me ressaisisse. Alors le rouquin me lРche et essuie sa main sur sa cuisse en s'excusant :

• Je suis dжsolж mais tu me plais bien et j'avais tellement envie ? - Au contraire, tu me plais aussi et j'ai bien aimж.

Nous nous sourions sans trouver les mots justes Я nous dire. Soudain Arnaud regarde sa montre et me dit :

• Il faut que je rentre, le pУre doit m'attendre. On se revoit quand ? - Quand tu veux, je suis lЯ tous les soirs et les week-ends. - Alors Я ce soir !

C'est un rapide mais il me plait comme уa. Au moment de nous sжparer, Arnaud pose un rapide bisou sur mes lУvres et ouvre la porte. En enfilant ses bottes, il met un doigt sur sa bouche pour me recommander le silence, ce qui va de soi. Puis il part en grandes enjambжes jusqu'Я son tracteur.

J'avais Я peine rangж mon assiette du dЬner que le rouquin frappe Я ma porte. Il a changж d'aspect et semble vraiment mince dans son jean serrж et son T-shirt moulant. Son visage rayonnant sous sa chevelure de feu fait plaisir Я voir. Ses mains toutes propres semblent moins grosses que tout Я l'heure. Quand il dжpose un rapide bisou sur mes lУvres, je me rends compte qu'il est Я peine plus grand que moi. Je sors des boissons et nous nous installons sur la terrasse Я l'arriУre. L'agriculteur se serre bien Я cЗtж de moi et passe sa main par-dessus mes жpaules.

• Dire que sans cette vieille souche, je ne t'aurais jamais connu ! remarque-t-il - On se serait forcжment croisжs un jour oщ l'autre. - Peut-Жtre mais tu ne m'aurais pas invitж chez toi.

Cette remarque me laisse songeur. Malgrж mes nombreuses rencontres en ville, je n'ai jamais trouvж un mec qui me convienne et en arrivant Я la campagne je trouve presque tout de suite un agriculteur qui me plaise. En plus, avec ses 25 ans, il est de deux ans mon aЬnж.

Arnaud me parle de son travail de la terre qu'il aime beaucoup, puis de ses parents. Son pУre est bon vivant et jovial, contrairement Я sa mУre qui est toujours bougonne et mЖme aigrie depuis que la s?ur d'Arnaud est morte en bas Рge. Il me parle de son homosexualitж, qu'un valet de ferme de ses voisins lui a fait dжcouvrir quand il avait 14 ans, de sa difficultж de faire des rencontres en milieu rural. Il se livre avec simplicitж et confiance.

A mon tour je parle de ma jeunesse dans une famille d'ouvrier, mes жcoles, la dжcouverte de mes attirances et ma gЖne de ne pas pouvoir vivre ma sexualitж ouvertement. Mon dжpart dans une autre ville pour Жtre libre de mes rencontres et enfin, de ce que mes parents appellent ma rжussite sociale, depuis que je suis employж de banque derriУre un guichet?

Soudain Arnaud se lУve et me prend par la main pour me faire rentrer. En me caressant le dos il me pousse vers ce qu'il devine Жtre ma chambre au premier жtage. Une fois que nous sommes dans l'intimitж de la piУce, il me serre contre lui pour m'embrasser avant de me retirer mes habits tout en enlevant les siens. Nous ne nous quittons pas des yeux et nos regards expriment le dжsir que nous ressentons l'un pour l'autre. Contrairement Я beaucoup de mecs avec lesquels j'ai couchж, le rouquin se met totalement nu avant de nous rapprocher du lit. Sa bite est dressжe le long de son ventre comme une invite Я venir s'y accrocher. La mienne pointe Я 45 degrжs, comme attirжe par la sienne.

Le corps d'Arnaud est trУs fin et couvert de petits poils roux sauf sur son torse et son pubis oщ s'жtalent deux жpaisses forЖts de feu. Bien que finement musclж, mon corps de blond lжgУrement poilu, Я la peau claire, parait bien fade Я cЗtж du sien, sur lequel le rouge des poils contraste avec le laiteux de la peau. Sans nous Жtre concertжs, nous nous жcroulons sur le lit et nous enroulons dans une embrassade sans fin. Nos lУvres collжes entre elles nous permettent de goчter Я la saveur de nos bouches tandis que nos queues tendues sont comme deux жpжes prЖtes pour une duel.

AprУs avoir explorж nos corps du bout des lУvres et de la langue, nous nous retrouvons en position de soixante-neuf. La teub au bout жvasж d'Arnaud me pжnУtre jusqu'au fond de la gorge tandis que je frжmis sous les coups de langue de l'agriculteur. Nous lжchons nos couilles en goчtant Я la saveur de mecs excitжs que dжgagent nos entre-jambes. Celles du rouquin pendent bien bas tandis que les miennes se sont collжes Я la base de ma bite.

Sans que nous ayons dжcidж de quoi que ce soit, je me retrouve sur le dos, les jambes relevжes contre le torse d'Arnaud. Lubrifiж par le gel que je lui ai donnж, il fait pжnжtrer son жnorme gland dans l'anneau serrж de mon cul. Ses yeux sont plongжs dans les miens et nous devinons nos sensations Я l'intensitж de nos regards. Il n'a pas Я pousser beaucoup pour que je m'ouvre et l'accueille avec un soupir de plaisir. Je sens son n?ud m'жcarter le boyau tandis qu'il pжnУtre inexorablement de plus en plus profondжment. AprУs une seconde rжsistance plus profonde, Arnaud m'embroche jusqu'aux couilles que je sens toucher mes fesses. Il pousse un profond soupir auquel rжpond le mien.

• Ah, c'est super? me dit-il dans un soupir.

Mon sourire lui fait comprendre que j'apprжcie aussi la teub qui m'embroche. Je sens son n?ud remuer dans mes entrailles tandis que mon anus est sensibilisж par le lent mouvement de va et vient qu'il entame. Appuyж sur ses bras tendus, le rouquin commence Я me bourrer de toute la longueur de sa tige. Ce faisant, il regarde ma queue qui laisse perler des gouttes claires. Plus les minutes passent dans cette position, plus je trouve qu'Arnaud correspond au genre de mec que j'ai toujours cherchж. Il accжlУre imperceptiblement le rythme de ses coups de reins jusqu'Я ce que ses couilles fassent un bruit mat en venant frapper mes fesses.

Des gouttes de sueur perlent sur le visage et le torse d'Arnaud, ce qui accentue l'odeur de rouquin qu'il dжgage naturellement. Ces effluves agissent sur moi comme un aphrodisiaque et augmentent mon plaisir. Il est toujours campж sur ses bras tendus, ce qui me permet de toucher ma queue tendue Я bloc. Il a un sourire quand il voit que je commence Я me branler.

• Oui, vas-y? fais toi du bien? me dit-il entre deux soupirs.

Tout en fixant ses yeux le plus profondжment possible, je me branle Я la vitesse de ses coups de queue. Petit Я petit, ma prostate se contracte, stimulжe par les va et viens de la bite d'Arnaud dans mon cul et ceux de ma main sur ma queue raide.

• Tu es prЖt ? demande Arnaud en voyant mon sourire se figer.

J'ai Я peine le temps d'acquiescer qu'un flot de lave en fusion traverse ma bite et vient s'жcraser sur mon torse. Avec un dernier coup de reins puissant, le rouquin se bloque au plus profond de mon cul en rРlant sans retenue. Je sens tout mon pжrinжe palpiter sous le double effet du plaisir de l'жjaculation et de la stimulation de ma prostate par les spasmes de la queue d'Arnaud. Nous restons dans cette position jusqu'Я ce que les contractions de nos sexes se calment puis, avec un grand soupir, Arnaud se laisse tomber sur moi.

• Il est vachement bon ton cul ! me dжclare-t-il.

Je lui rжpond que j'ai pris autant de plaisir que lui. Il halУte comme un sportif aprУs l'effort et nous restons soudжs jusqu'Я ce que mon cul expulse la bite ramollie d'Arnaud en mЖme temps que le foutre dont il a rempli mon boyau. Mon propre sperme a coulж sur mes cЗtжs et le reste a poissж les poils de nos torses. Le rouquin se laisse glisser Я cЗtж de moi et respire calmement. Puis il se redresse sur un coude et tout en jouant avec les poils engluжs sur ma poitrine, il me demande :

• Tu as aimж ? Je ne t'ai pas trop dжуu ? - Au contraire, c'жtait formidable, j'ai beaucoup aimж ! - Alors on pourra recommencer ? Continue-t-il avec un sourcil levж. - Aussi souvent que tu veux.

Il se penche et m'embrasse Я pleine bouche pendant de longues minutes. Puis, rжalisant que la soirжe est bien avancжe, il se redresse et me dit qu'il est temps pour lui de rentrer. Je lui indique la douche et le laisse se prжparer. Quand il est prЖt Я partir, je l'accompagne Я la porte et lui donne un dernier baiser.

• Je crois que tu me plais de plus en plus, me dжclare-t-il.

Pour ne pas brчler les жtapes, je ne rжponds rien mais il voit Я la brillance de mes yeux et la rougeur de mes joues que j'жprouve la mЖme chose que lui.

Arnaud passe toutes ses soirжes chez moi et Я chaque fois que nous faisons l'amour, nous retrouvons le plaisir de la premiУre fois. Il lui arrive mЖme de s'arranger pour venir le samedi travailler dans l'un ou l'autre champ proche de chez moi rien que pour passer en coup de vent. Il dжbarque dans ses habits de travail maculжs de terre et nous nous embrassons goulчment. Comme l'excitation monte, nous nous laissons aller Я une petite gРterie. J'apprжcie ces moments impromptus qui me permettent de profiter des odeurs fortes de son corps en plein travail. Elles sont devenues comme une drogue pour moi. Rien que le fait de sentir les жmanations du jeune cultivateur me fait bander.

Un samedi, alors qu'Arnaud avait travaillж dans le champs en face de chez moi, il vient en fin d'aprУs-midi et me demande de le suivre. Il me fait monter sur son tracteur et me dit en riant qu'il m'emmУne faire une balade. Nous roulons sur les sentiers entre les champs jusqu'Я l'orжe d'un bois. Une fois dans les bosquets, le rouquin arrЖte son tracteur et m'attire Я lui.

• J'ai envie de toi, lЯ, maintenant ! - Mais? on est en pleine campagne? - Ici il n'y a jamais personne. Allez, enlУve ton froc !

Pour me montrer Я quel point son dжsir est brчlant, il baisse la fermeture de sa cotte de laquelle sort sa teub, plus raide que jamais. Son gland est gonflж et cramoisi avec une goutte claire qui perle en son milieu. Naturellement, уa ne me laisse pas indiffжrent et je me penche pour le prendre en bouche mais le rouquin me repousse.

• Non, baisse ton froc et viens t'asseoir.

Je suis trop tentж par cette nouvelle expжrience pour rжsister. Je laisse tomber mon pantalon et enjambe les cuisse d'Arnaud. Il crache dans sa main et s'enduit le chybre de salive. Puis il crache une nouvelle fois dans ses doigts pour me lubrifier la rosette. Lentement je me laisse descendre sur cette tige qui m'a dжjЯ pжnжtrж tant de fois. L'opжration est lente car la salive ne le fait pas glisser aussi facilement. Peu Я peu, je sens le champignon pжnжtrer dans mon rectum, puis passer dans le colon, ce que ceux qui ont une bite assez longue appellent "la porte du bonheur".

Quand enfin mes fesses touchent son ventre, Arnaud lРche un grand soupir de plaisir. Mes couilles et la base de la queue, devenue aussi raide que la sienne, touchent son ventre. Les poils drus de son pubis chatouillent mon anus. Lentement je me soulУve, aidж par les mains du rouquin puis je redescend. L'odeur de sa transpiration monte de l'ouverture de sa cotte directement dans mes narines, ce qui m'excite toujours autant. Le plaisir est tel que j'oublie oщ nous sommes et me concentre sur le bien-Жtre que je ressens Я Жtre pжnжtrж si profondжment par mon partenaire. Au bout d'un moment, Arnaud me force Я accжlжrer le rythme jusqu'Я ce qu'il sente les prжmices de la jouissance.

• Putain, c'est bon? je vais tout lРcher?

Il me pousse deux ou trois fois au plus bas de sa tige avant de s'immobiliser et de me remplir le boyau de son foutre chaud. Je prends ma bite en main et me branle en profitant des spasmes de la teub d'Arnaud contre ma prostate. En peu de temps, je sens mes glandes se contracter. Arnaud, revenu de son plaisir m'encourage :

• Vas y, laisse toi aller contre moi.

Cette invite vient au moment oщ je me rжpands gжnжreusement sur la poitrine du rouquin en engluant copieusement les poils de son torse. Trois, quatre fois, mon foutre jaillit, puis coule en longues traЬnжes jusqu'Я ses poils pubiens et sur mes couilles. Nous restons quelques instants Я savourer notre plaisir puis Arnaud me soulУve pour libжrer sa bite mollissante. Il me tend un vieux chiffon pour m'essuyer avant de le prendre pour enlever le plus gros de mon jus restж collж dans ses poils. Il remonte sa fermeture pendant que j'enfile mon pantalon.

• Ici il n'y a pas de douche? alors je garderai ton jus sur moi jusqu'Я ce soir, dit-il en m'attirant Я lui pour un long baiser.

Puis avant de remettre le tracteur en route il me demande :

• Ca t'a plчt de baiser dans la nature ? - Avec toi, уa me plait de baiser n'importe oщ.

Il me ramУne au bout du champ prУs de ma maison et me laisse rentrer en serrant les fesses tandis qu'il va terminer son travail un peu plus loin.

Un jour Arnaud m'annonce qu'il veut me faire connaЬtre ses parents Я qui il a parlж de moi. Cette idжe m'angoisse autant qu'elle me plait mais notre relation est devenue tellement rжguliУre que cette prжsentation est presque naturelle. Nous tombons d'accord sur le dimanche suivant. A l'heure dite, le rouquin vient me chercher et c'est un peu tendu que je pжnУtre dans la grande ferme de ses parents.

• VoilЯ celui qui a achetж la maison du Gaston ! dit son pУre en me serrant la main.

Sa mУre se contente de me lancer un bonjour depuis le fond de la piУce. Le repas se passe dans le calme et le pУre d'Arnaud ne cesse d'alimenter la conversation avec jovialitж tandis que sa mУre parle peu. AprУs le dessert, le rouquin m'emmУne visiter les lieux. C'est grand et nous nous retrouvons seuls dans les remises pour les machines. Arnaud se met devant moi et m'embrasse avec passion. Nous nous frottons l'un contre l'autre en sentant notre excitation monter.

• J'ai envie de toi, lЯ tout de suite, murmure-t-il en m'embrassant dans le cou.

Moi aussi j'ai envie de lui mais en mЖme temps j'ai trop peur que quelqu'un nous surprenne. Plus je me montre rжticent, plus Arnaud insiste. Finalement il me coince derriУre une жnorme machine et dжfait ma ceinture. Ma rжsistance faiblit au fur et Я mesure qu'il me met devant le fait accompli. L'excitation fait monter la chaleur de son corps et son odeur m'enivre de plus en plus. Dans un mЖme жlan d'excitation, nous nous laissons aller et nos pantalons tombent rapidement. Arnaud se met Я genoux pour ma tailler une pipe vorace. L'excitation et la peur d'Жtre surpris ne me permettent pas de me contrЗler. En quelques minutes, je sens que je vais tout lРcher. Je prжviens mon partenaire qui redouble d'ardeur.

Avec un soupir жtouffж, je me laisse aller dans la bouche du rouquin qui me tЖte la queue jusqu'Я m'en faire tordre quand il continue Я me titiller le gland. A peine je suis remis de mon orgasme, qu'Arnaud se lУve et appuie sur mes жpaules. A mon tour je lui rend la gРterie qu'il vient de me faire. Les poils autour de son sexe sentent de plus en plus fort et уa double mon ardeur. Sa longue tige vient fourrager dans mon arriУre gorge en me faisant suffoquer. Il est tout aussi жmoustillж que moi et me rend gжnжreusement le fluide dont je l'ai abreuvж.

Remis de nos жmotions, nous nous enlaуons quelques instant avent de ressortir un peu en sueur. Arnaud me fait visiter la totalitж du domaine entiУrement consacrж Я l'agriculture. Les seuls animaux sont les poules et les lapins жlevжs par sa mУre. Lorsque nous revenons dans la maison, le pУre du rouquin me questionne sur ce que j'ai vu et si j'ai apprжciж. Je m'empresse d'approuver tandis que sa mУre me regarde de travers depuis le fauteuil dans lequel elle fait de la couture. Mon copain dжcide de me ramener chez moi, ce qui provoque un soupir de regret de son pУre et un ricanement de sa mУre :

• Maintenant il n'en a plus que pour ce type !

Arnaud me fait un sourire embarrassж auquel je rжponds par un haussement d'жpaules. Une fois chez moi, nous nous embrassons de nouveau longuement et faisons l'amour avec moins d'empressement que tout Я l'heure. Nous nous sentons bien ensemble et nos sentiments deviennent de plus en plus certain.

Un samedi, Arnaud me dit de mettre des vieux habits pour faire le tour ses nouvelles cultures dans la vieille jeep de son pУre. Il me montre des champs de ma№s, de blж, de pommes de terre et plein d'autres vжgжtaux dont je sens qu'il est vraiment fier. Pour moi, fils d'ouvrier жlevж en ville, tout est nouveau et je me rжjouis du plaisir de mon ami. Je sens bien qu'il est amoureux de sa terre et il commence Я me transmettre sa passion. Nous continuons Я progresser entre les champs et les bosquets pour passer dans un endroit plus boisж. Le rouquin arrЖte le moteur et descend. Il me fait signe de le suivre dans une zone qui a l'air abandonnжe tant les herbes sont hautes et les buissons touffus.

• C'est un жtang Я poissons abandonnж depuis une cinquantaine d'annжes, m'explique-t-il.

Nous arrivons au bord d'une sorte d'жtendue boueuse dans laquelle rien ne pousse. La pluie de l'avant-veille a bien assoupli ce qui doit Жtre une terre dure sous les rayons du soleil de ce mois d'aoчt. Tout autour, des saules pleureurs forment un жcran qui l'isole parfaitement. Arnaud me prend par la taille et regarde cette boue sans dire un mot pendant un certain temps.

• On dit que les bains de boue sont bons pour la peau, me dit-il doucement. - Pourquoi tu dis уa ? - On se fait une cure de beautж ? suggУre-t-il avec un grand sourire.

Je rжalise Я peine ce que le rouquin me propose. Quand il se dжshabille et pose ses vЖtements assez loin du bord, j'ai une hжsitation. En voyant sa teub en dжbut d'жrection, mes doutes deviennent une rжalitж. ComplУtement nu en pleine nature, Arnaud commence Я me dжshabiller. Je suis gЖnж Я l'idжe de faire du nudisme sauvage mais le contact de mon partenaire me fait faiblir. Une fois nu, je dжcouvre que l'excitation me gagne et que ma queue aussi se redresse lentement.

En me tenant par la main, Arnaud m'entraЬne dans le magma boueux. L'impression est bizarre, la terre trУs fine a un contact presque sensuel. Nous pжnжtrons jusqu'Я mi-mollets et nous nous arrЖtons. Le rouquin se penche pour s'asseoir en m'attirant pour faire de mЖme. La boue rжchauffжe par le soleil nous enveloppe jusqu'Я la taille, mon sexe est caressж par la masse visqueux. Arnaud passe sa main entre mes jambes et caresse ma semi-жrection.

• On dirait que уa te plaЬt? constate-t-il avec un sourire. - C'est spжcial mais c'est surtout toi qui me fais bander.

Arnaud se tourne pour m'embrasser et en mЖme temps me pousse en arriУre dans la boue. J'en ai jusqu'aux жpaules. Puis il passe sur moi et je sens sa bite raide glisser sur mon ventre, ce qui redresse la mienne immжdiatement. Puis nous roulons l'un sur l'autre en gardant nos lУvres collжes et nos langues enlacжes. Arnaud passe une main entre nos ventres et prend nos deux queues ensemble pour les caresser. Cet attouchement m'excite beaucoup, puis il joue avec nos couilles tout en nous faisant rouler dans la boue devenue un lubrifiant enveloppant nos corps. Je suis maintenant aussi excitж que lui et nous nous frottons l'un contre l'autre avec passion.

Les frottements et le grain de la boue font monter rapidement mon excitation et je me sens proche de l'orgasme. Arnaud n'en est pas loin non plus, alors il se met sur mon cЗtж et pose mes fesses sur une de ses cuisses de faуon Я ce que juste mon gland dжpasse de la boue. Il se met Я me branler tout en m'embrassant. Mes couilles se contractent rapidement et mon jus bouillonne dans mon ventre. Comme je grogne, le rouquin observe mon gland et dit :

• Regarde, il va y avoir une жruption de foutre !

En quelques secondes, je me laisse aller en rРlant. Deux gerbes blanches jaillissent du magma brunРtre et retombent un peu plus loin. Tant qu'Arnaud me masturbe, je sens mon pжrinжe agitж de spasmes. Une fois calmж, je me tourne pour lui rendre la pareille. Sauf qu'il n'a pas Я reposer ses fesses sur ma cuisse tant sa tige est longue. Je branle avec dжlice cette teub qui m'embroche rжguliУrement. Comme je sens mon partenaire trУs excitж, je procУde lentement pour que son plaisir n'explose pas trop vite. Arnaud soupire et se tord sous mes caresses puis se raidit d'un coup. Une gerbe blanche jaillit de son gland affleurant la boue, puis trois ou quatre autres qui retombent bruyamment sur la surface boueuse. Pendant un long moment, je sens les spasmes de sa bite dans ma main serrжe. Quand il se calme, Arnaud se tiens sur ses coudes.

• Putain que уa fait du bien ! s'exclame-t-il. Tu as aimж ? - Oui, mais il faut dire que c'est spжcial. - Ca m'excite d'Жtre dans la boue. Avant de te connaЬtre je venais trУs souvent me branler ici.

Arnaud est un vrai fils de la terre et son mжtier lui va bien. De plus il rжussit Я y attirer peu Я peu le citadin que je suis. En sortant de l'жtang boueux, je rжalise que nous sommes crottжs jusqu'aux cheveux et j'interroge le rouquin sur la maniУre de nous dжbarbouiller. Il sourit car il a tout prжvu. A l'arriУre de la jeep, il a placж deux gros jerricanes d'eau. Il en vide un lentement sur moi pendant que je me dжbarbouille puis je fais de mЖme pour lui. Ensuite nous nous laissons sжcher au soleil avant de nous rhabiller.

Sur le chemin du retour, nous жvoquons en riant notre derniУre relation. Une fois chez moi, nous prenons une douche et nous asseyons devant un verre. Nous sommes devenus de vrais amis et si ce n'жtait la diffжrence d'habitation, nous formerions un couple. Je suis heureux d'avoir Arnaud dans ma vie et mon seul regret est de ne pas pouvoir partager mes nuits avec lui. Lui-mЖme жvoque avec regret la cohabitation avec ses parents mais accepte la situation puisque nous nous voyons tous les soirs et passons une partie de nos week-ends ensemble.

A la fin de l'automne, Arnaud dжbarque un dimanche matin avec l'air bouleversж. Il m'annonce que sa mУre vient d'Жtre transportжe Я l'hЗpital Я la suite d'une attaque. Je le rжconforte avec toute l'affection que je peux avant qu'il ne reparte aux nouvelles. Dans l'aprУs-midi il vient m'annoncer que sa mУre est dжcжdжe. Ce choc nous rapproche encore plus et je l'accompagne avec discrжtion tout au long de ces journжes de deuil.

Quelques temps aprУs, au cours du moment de dжtente qui suit l'orgasme, Arnaud me demande de rжflжchir Я une proposition. Il souhaiterait que je quitte mon travail pour le seconder dans l'exploitation du domaine familial et surtout, il me demande de venir habiter avec lui Я la ferme. Mon c?ur bat Я se rompre car le choix qu'il me demande est crucial pour mon avenir. Au fond de moi, je sais ce que je dжsire mais la raison me commande de temporiser. AprУs consultation d'un conseiller, je demande Я mon employeur un congж sabbatique qui me permettra de savoir si notre amour est suffisamment fort et si je suis fait pour ce genre de vie.

Arnaud n'a pas attendu ma rжponse pour amжnager une piУce qui nous permette de vivre ensemble sans pour autant mettre son pУre dans l'embarras. Celui-ci a bien acceptж la dжcision de son fils et me conseille mЖme dans les tРches que je dжcouvre au fil des jours. Soit il ignore ce qui nous rapproche avec Arnaud, soit il ne veut pas s'en mЖler mais il ne dit rien qui puisse nous faire comprendre qu'il est au courant de notre vie sexuelle. Pour nous, c'est un vrai bonheur de pouvoir passer nos nuits ensemble et de nous rжpartir les divers travaux dans la journжe.

Ca fait maintenant cinq ans que je suis devenu cultivateur. En me donnant son amour, Arnaud m'a aussi transmis sa passion pour la terre.