Au Garage

By Exesxes

Published on Mar 17, 2014

Gay

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Cette histoire est une fiction qui concerne du sexe entre trois hommes adultes consentants. Si vous n'êtes pas d'accord avec le sujet, ne la lisez pas. Mais si ça vous intéresse, je suis ouvert a toute remarque ou suggestion.

This story is a fiction about sex between three consenting adult men. If you disagree with the subject, don't read it. But if you're interested, I'm open to any comments or suggestions.

Exes

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AU GARAGE

Le chef d'atelier m'avait dit que ça pouvait prendre du temps jusqu'à ce que son coursier trouve la pièce chez le fournisseur, revienne et qu'on la remette en place dans ma voiture. Comme il pleut, j'ai décidé d'attendre dans le garage. D'autant plus que j'ai repéré un jeune mécano pas mal du tout. Il a une petite gueule de loubard à faire bander un mort.

C'est un jeune beur à la peau mate, avec les cheveux en crête courte et les côtés rasés. Il porte une cotte assez moulante qui met en valeur un beau paquet. Il est conscient de son physique et roule des mécaniques en travaillant. Chaque fois qu'il voit une femme passer, il parade. Je me suis trouvé un coin éloigné du garage pour l'observer en toute tranquillité. Debout derrière une voiture, j'observe son manège et mon imagination commence à travailler.

Il faut dire qu'il fait tout pour qu'on le remarque. Dès qu'une femme arrive, il va et vient près d'elle et ouvre un peu le haut de sa cotte pour montrer son torse basané et lisse. Quand elle le regarde, il fait semblant de chercher quelque chose dans sa poche arrière et tire sur sa cotte pour bien mouler ses couilles. Cette partie de sa tenue est plus tachée que le reste, ce qui attire forcément le regard. Si la femme détourne les yeux, il porte ostensiblement sa main à son sexe et le prend à pleine main. A part moi, personne ne semble remarquer son manège.

La bandaison qui naît dans mon froc me travaille. J'appuie ma braguette contre la carrosserie d'une voiture et je m'excite avec des petits mouvements de hanches. Peu à peu, ma tige raidit et je suis obligé de la remettre droite. Ce faisant, je remarque qu'un autre mécano qui travaille sur un moteur un peu plus loin m'observe du coin de l'?il. C'est un type dans les 25 à 30 ans qui porte un bleu en deux pièces passablement sale. Quand je le regarde, il ne baisse pas les yeux tout de suite et je crois même deviner un rictus moqueur sur ses lèvres.

Un peu gêné, je m'écarte de manière à ne pas être dans son champ de vision. Je continue à observer le manège du jeune mécano en me frottant de plus en plus fort contre la carrosserie d'une autre voiture. Le gosse est chaud comme tout et me met dans un terrible état d'excitation. De temps à autre je jette un regard pour voir si l'autre mécano ne me regarde pas mais je ne vois plus que ses bras bouger, ce qui me rassure. Le jeune beur est en train d'essayer de se faire remarquer par une nana. Il sort le grand jeu et il me semble même qu'il commence à bander. Ca me met dans tout mes états.

  • Il t'excite le Farid ?

Cette phrase me fait sursauter. En même temps je sens un corps tout près derrière moi. En tournant brusquement la tête, je vois l'autre mécano. Je suis abasourdis, d'autant plus que les bras s'agitent toujours dans le moteur un peu plus loin.

  • C'est un collègue qui me remplace, explique le type avec un sourire moqueur.

Il est resté derrière moi et rapproche son bassin de mes fesses. Je ne sais pas que répondre, ni que faire. Ma bandaison retombe plus vite qu'elle n'est venue. Le mécano est environné d'une odeur de graisse et de sueur. Enfin il vient devant moi et me fixe dans droit dans les yeux.

  • T'as pas d'chance, le Farid, il s'intéresse qu'aux nanas? Au début son cinéma nous faisait marrer mais maintenant on a trop l'habitude.

Je balbutie quelque chose d'inaudible en souhaitant que la pièce manquante arrive à l'instant et qu'on m'appelle d'urgence dans les bureaux. Heureusement qu'il fait sombre dans ce coin, sinon l'autre s'apercevrait que mon visage est écarlate comme celui d'un gosse pris la main dans le pot de confiture.

  • Par contre moi j'serai pas contre une p'tite pipe? murmure le mécano dont l'haleine pue le tabac.

Je commence à trembler à l'idée de devoir le sucer dans cet endroit. Je le vois lever ses mains noires de graisse à la hauteur de mes épaules et il me glisse d'un ton railleur :

  • Tu veux quand même pas que j'salisse ton beau T-shirt? dans les bureaux, ils te demanderaient comment tu t'es fait ça?

En tremblant, je me penche et tombe sur mes genoux. Il sourit et ouvre la braguette de son bleu.

  • Vas y, sors la toi-même, si tu veux pas sucer d'la crasse d'moteurs.

Fébrilement, je plonge mes doigts dans sa braguette. En baissant l'élastique de son slip, je dégage une queue en pleine bandaison. Elle est encore molle, ce qui me permet de la sortir sans trop de difficultés. J'ai déjà fait ce geste des centaines de fois mais les circonstances actuelles me font flipper. Je dois reconnaître que le gars est bien monté et que ça m'excite après le spectacle de Farid.

  • Allez, traîne pas, grogne le mécano en mettant ses poings sur ses hanches.

J'ouvre donc la bouche et m'enfile son morceau non circoncis qui sent l'urine et la sueur. Très vite il grossit et durcit sur ma langue. Maintenant je suis tout à fait conquis et je le pompe avec application. Pour le plus grand plaisir de son propriétaire, ma langue enrobe et titille son gland qui s'est dégagé du prépuce. Plus il souffle, plus je m'applique. D'un coup de reins sec, il se dégage.

  • Putain, t'es une bonne salope ! s'exclame-t-il, vas y pas trop vite qu'j'en profite bien.

Je reprends mon activité en y mettant un peu moins d'ardeur. Quand mon nez touche sa braguette, je prend en plein son odeur de mâle, ce qui me met dans tous mes états. Tout en m'activant, je sors ma queue devenue aussi raide que celle que j'ai en bouche. Tout en le travaillant de la langue, je me branle activement.

  • Eh, tu t'paluches, grogne le mécano, alors c'est qu'ça t'plait !

Je ne réponds pas et m'efforce de le prendre le plus à fond possible dans ma gorge. Ca le fait soupirer et ma main posée sur une de ses cuisses la sent agitée par un léger tremblement.

  • J'vais pas tarder ! m'annonce-t-il.

Je continue à le pomper de plus belle pendant qu'il cherche à se retirer de ma bouche. Mais ma main est passée derrière sa fesse et le retient. Je devine qu'il fait des gros efforts pour ne pas jouir dans ma bouche mais j'ai envie de le boire jusqu'à la dernière goutte. Cette idée me fait éjaculer à l'instant. En grognant je pompe avidement son dard devenu totalement raide.

  • Putain, j'viens ! râle le mec

A son tour il découille dans ma bouche sans plus chercher à se retirer. Au contraire, il se pousse à fond et halète doucement. A peine les soubresauts de sa bite dans ma bouche se sont calmés, je le lâche et me redresse.

  • T'es un bon suceur , complimente-t-il, maintenant il faut que j'aille pisser.

Il me plante là et pousse une porte sans même rentrer sa bite dans son froc. Je me réajuste et le mécano revient quelques instants après en sifflotant. J'ai encore en bouche le goût prononcé de son foutre et je ne regrette pas ce qui vient de m'arriver. Je le complimente sur la taille de son engin et la quantité de foutre dont il m'a gratifié. Ca le fait sourire mais je devine que ça flatte grandement son ego.

  • Si ça t'dis, tu peux venir de temps en temps. J'suis bi et j'trouve qu'les mecs sucent mieux qu'les nanas?

A ce moment une voix retentit dans le fond du garage :

  • Où qu't'es Juju ? - Ici, répond le mécano. - Qu'es tu fous ? - J'cause avec le client, il commence à s'emmerder. - Justement, la pièce est arrivée, viens arranger sa tire.

Nous partons tous les deux et lorsque nous arrivons à la lumière, Juju me fait un clin d'?il discret. Pendant qu'il s'occupe de ma voiture, je passe au bureau régler ma note. Ca fait un peu cher la pipe et je décide que je vais me rembourser avec la bite du gars Juju. Quand il a fini, il avance ma voiture vers la sortie et, en me cédant le volant, il pointe du doigt un morceau de papier sur le siège passager où il a écrit son numéro de téléphone et en dessous "A bientôt".

Il n'a pas eu longtemps à attendre. Dès le lendemain je l'appelle pour lui demander s'il a envie de me revoir. Sans discuter, il me donne rendez-vous dans la soirée à côté du garage. Quand je passe devant le garage pour aller le rejoindre, j'ai un pincement au c?ur parce qu'il est fermé. Juju est un peu plus loin, toujours vêtu de son bleu te travail noirci par les graisses. Il fume tranquillement appuyé contre un mur. Dès qu'il me voit, il se redresse et impassible, il me fais signe de le suivre d'un coup de tête.

En silence, nous pénétrons dans la cour d'un immeuble jusqu'à une porte métallique qui se révèle être la sortie arrière du garage. Une fois à l'intérieur, Juju me guide jusqu'à un atelier que je n'avais pas vu.

  • De la rue on verra pas qu'il y a d'la lumière ici, explique-t-il laconiquement.

Juju s'est lavé les mains car, sans être propres, elles ne sont plus luisantes et noires de graisse. Tout en finissant sa cigarette, il me détaille de la tête aux pieds avec un air jaugeur. Je ne sais quelle attitude prendre en attendant qu'il se décide à faire un mouvement.

  • Tu fais pas pédé, lâche-t-il finalement, ça m'va plutôt bien.

Ignorant si c'est un compliment ou un simple jugement, j'esquisse un léger sourire.

  • Fais pas c'te tronche et viens ici, dit Juju en souriant.

Je m'approche et Juju prend une de mes mains pour la plaquer sur sa braguette. Instinctivement je palpe son paquet qui, bien que mou, est tout de même conséquent. Mon geste fait s'agrandir son sourire.

  • T'aimes ça, la bite.

Comme ce n'est pas une question, je me contente de sourire en continuant à palper sa braguette derrière laquelle sa tige prend du volume. Juju pose ses mains sur mes épaules et me force à m'agenouiller. Cette fois je n'ai pas à craindre de questions s'il me salit le T-shirt?

Une fois en place, j'ouvre sa braguette et vais fouiller à l'intérieur. Je suis plus détendu et plus excité que la fois précédente. En un tournemain je dégage son chybre et sors ses couilles. Juju s'est appuyé contre un établis et me regarde faire avec le sourire. Je prends le temps de regarder cette bite non circoncise dont le prépuce est long et flasque. Je joue un peu avec les doigts avant d'y glisser ma langue. Le mécano lâche un bref soupir et pose une main sur ma tête. De la pointe de ma langue je sens son trou de bite et je tente de l'y enfoncer. Puis je pousse plus avant pour aller explorer le tour de la couronne. Juju lâche des petits soupirs pendant que sa queue grossit rapidement. La mienne aussi d'ailleurs?

Quand Juju repousse ma tête en me demandant de ralentir, je laisse ma langue glisser vers la base de sa bite et je lui lèche les couilles. Ca le fait soupirer de plaisir. Alors, malgré leur grosseur, j'essaye de les prendre dans ma bouche. Elles sont couvertes de poils et elles ont le goût salé de la sueur. Y étant parvenu, je les fais rouler sur ma langue et je tire légèrement dessus pour les faire travailler tout en déboutonnant ma braguette pour libérer ma queue raide.

  • Mmfff? c'est bon ça ! grogne Juju.

Après avoir bien besogné ses couilles, je remonte le long de sa bite et fais pénétrer le gland entre mes lèvres serrées. Ce qui a l'air de lui plaire. Je le pompe de nouveau avec application tout en me branlant au même rythme que mes coups de langue. Juju a maintenant ses deux mains sur ma tête et il accompagne mes mouvements. Peu à peu il prend la direction des opérations et me fait accélérer le rythme en se poussant jusqu'au fond de ma gorge. La suffocation me fait tousser. Mon nez coule et je bave tant que je peux. Je suis obligé de lâcher ma queue pour me tenir à ses cuisses et essayer de résister à ses poussées. Juju ne ralenti rien, au contraire, sa pression devient de plus en plus forte.

  • Ouaaahhh?. explose-t-il soudain.

Son chybre déverse son foutre au fond de ma bouche. Même en m'efforçant d'avaler rapidement, l'en ai plein les joues et ça coule de mes lèvres tandis que moi-même, je n'ai toujours pas réussi à me faire jouir. Juju me retient le nez enfoncé dans sa braguette dont l'odeur de mâle excité me stimule toujours autant. Mon visage est mouillé de sueur, de bave, de morve et de foutre. Soudain un goût amer et prononcé m'envahit la gorge. Je veux me dégager mais Juju me retient fermement. Il est en train de pisser dans ma bouche !

  • Ah? soupire-t-il, j'aime pisser juste après avoir joui, c'est super.

Quand il me lâche, je reste complètement abasourdi par ce que je viens de subir. Je crache par terre tant que je peux pour vider ma bouche des restes de foutre et de pisse de Juju et je sors un mouchoir de ma poche pour m'essuyer le visage. Il me regarde d'un air satisfait et égrillard. Une ombre de sourire éclaire son visage d'ordinaire plutôt sérieux.

  • T'es un super bon pompeur, me lâche-t-il finalement. - Tu aurais quand même me prévenir pour la pisse, je suis pas trop accro à ça ! - C'était pas beaucoup, j'avais pissé juste avant de te voir. - Quand même, j'aime mieux savoir à l'avance. - Et toi, t'as pas joui, change-t-il en voyant que ma queue se dresse toujours raide et baveuse en dehors de ma braguette. - J'vais t'branler pour m'faire pardonner? conclut-il me m'attirant à lui avec un soupir.

Juju me place dos contre lui et passe ses deux bras autour de ma taille pour prendre ma queue d'une main et sortir mes couilles de l'autre. Je regarde ses doigts aux ongles cernés de graisse noire prendre ma queue à nouveau complètement dure. Ses paluches râpeuses me font un effet terrible, il les passe sans cesse sur mon gland baveux, ce qui me fait gigoter de plaisir.

Derrière moi, j'entends le souffle épais de Juju qui doit se concentrer. La main qui me branle a des va et viens très amples et rapides tandis que l'autre tire sur mes couilles. J'ai l'impression qu'il veut arracher mon sexe tellement il s'acharne dessus. En quelques secondes la crampe s'amplifie dans tout mon bas-ventre. Soudain, je sens ma prostate se contracter et j'ai l'impression que ma bite projette des giclées de lave en fusion. Je m'abandonne en râlant contre Juju qui continue à maltraiter mon sexe avec ardeur. Quand enfin ça se calme, il me lâche et s'essuie les mains contre ses cuisses.

  • T'as jouis un max, me dit-il en me regardant dans les yeux.

Je dois avouer que son traitement ne m'a pas déplu et que ça a fait passer le coup de la pisse. J'achève de m'essuyer le visage, secoue ma bite encore baveuse et la rentre dans mon froc. Juju se redresse et rentre son chybre d'un coup de reins. Il semble plus détendu que lorsque j'étais arrivé et il plaisante même un peu. Enfin il me pousse vers la sortie en me disant qu'il doit se changer pour rentrer chez lui. En ouvrant la porte, il me glisse :

  • La prochaine fois, amène de la vaseline, on ne sait jamais?

J'ai compris le message et je me dis que la prochaine fois sera certainement très bientôt.

En fait j'ai dû attendre la semaine suivante. Après l'appel de Juju, je retourne au garage. Comme je connais la porte arrière, j'entre directement et me dirige vers l'atelier arrière. Brusquement, j'ai un sursaut; j'entends Juju discuter avec un autre homme. Il doit y avoir une raison pour que son collègue soit resté. Doucement je fais marche arrière et me dirige vers la porte quand j'entends Juju m'appeler. Je suis figé un instant et la voix du mécano m'appelle encore une fois. Quand j'entre dans l'atelier, je le vois en compagnie de Farid. Les deux hommes sont toujours en tenue de travail et fument en buvant un verre. Ils me dévisagent un instant. Ma mine déconfite doit les amuser car ils éclatent de rire.

  • Qu'est-ce que t'as ? demande Juju - Euh? je croyais? - T'en fais pas, j'avais parlé d'toi à Farid et il a eu envie d'te connaître. - Ben? - Fais pas ta chochotte et viens ici.

Ils m'offrent un verre et l'alcool fort me détend un peu. Après quelques propos égrillards au sujet de clientes que Farid a dragué, Juju met la main à sa braguette pour l'ouvrir, pendant que l'autre se malaxe le sexe à travers sa cotte. Les deux mécanos s'appuient contre un établi et Juju me laisse sortir la sienne pendant que Farid ouvre sa cotte par le bas pour dégager juste son sexe. Je suis décontenancé pendant un moment et je contemple ces deux chybres en voie de se raidir. Celui de Farid est bien gros à côté de son collègue et surtout, une paire d'énorme couilles pend bien bas par en dessous. Sur un clin d'?il de Juju, je me mets à genoux devant lui et commence à lécher sa bite. A côté, Farid se branle mollement en me regardant faire.

Maintenant je suis très excité à l'idée de me faire ces deux mecs. Je sors le grand jeu pour mettre Juju en forme. Celui-ci apprécie mon habileté et a une érection totale en peu de temps. Alors la main de Farid se pose sur ma tête et l'attire vers sa bite. L'odeur de mâle qui se dégage de l'ouverture de sa cotte est quasiment enivrante ! Je me mets en devoir de le gratifier du même traitement. Son chybre durcit mais ne grossit pas plus. Rapidement il prend une forme de banane. Ses grosses couilles me fascinent et je les fais rouler entre mes doigts avant de les lécher avidement. Une fois que Farid est bien ferme, je passe de l'un à l'autre, puis j'essaie de les prendre tous les deux en même temps. Je jubile à l'idée que ces deux mecs à femmes n'ont pas du imaginer qu'un jour ils se frotteraient leurs queues l'une contre l'autre dans la bouche d'un homme?

  • Bon, on va s'mettre en position, déclare Juju en me repoussant.

Juju repousse quelques outils sur l'établi et y pose une couverture crasseuse avant de me pousser devant et de me baisser mon jogging d'un coup sec.

  • Putain, c'est une salope, lâche Farid, il a pas de slip !

Cette remarque me fait sourire, parce qu'en réalité je n'en porte jamais.

  • T'as amené la vaseline ? demande Juju.

Maintenant je comprends que les deux compères avaient bien préparé leur coup. Je vais donc les prendre tous les deux ! Je me dis qu'il ne me reste plus qu'à en profiter un maximum. Je lui tends un flacon de lubrifiant qu'il donne à Farid. Contrairement à ce que j'avais pensé, Juju se pose à califourchon au milieu de l'établi et s'appuie contre une machine qui y est fixée. Je me penche de manière à avoir le visage contre l'entrejambes de Juju.

Pendant que Juju place sa queue dans ma bouche, Farid s'enduit le chybre de lubrifiant. Visiblement il n'a pas l'habitude de prendre dans le cul parce qu'il s'enfonce d'un coup jusqu'aux couilles. Je me redresse en criant de douleur.

  • Ben quoi ? s'étonne Farid, j'dois pas être le premier?

Je lui rétorque qu'il pouvait s'y prendre plus doucement et apprécier la pénétration en se poussant lentement dans mon cul.

  • Foutaises ! réplique Farid en me poussant de nouveau à plat ventre.

Maintenant que la douleur s'est calmée, je me remets à sucer Juju pendant que Farid commence à me besogner le cul. Son pieu est vraiment dur et je le sens me labourer le boyau en allant douloureusement taper dans le fond.

  • Putain, c'qu'il est serré? soupire-t-il.

Sa tige va et vient lentement en titillant ma prostate mais chaque fois qu'il arrive à fond, je sursaute sous le choc. Juju s'est appuyé confortablement et retient ma tête en dessus de sa braguette. Les poussées de Farid me poussent le nez dans les poils pubiens de son collègue dont les effluves de mâle en rut me stimulent de plus en plus. Son gland me chatouille la glotte et me met parfois au bord du vomissement. Pendant ce temps Farid me retient par les hanches et ralentit son rythme. Tout en me bourrant, il lâche entre ses dents :

  • Bordel, qu'c'est étroit ! - Ca doit faire du bien à ton zob toujours en chaleur, ironise son copain. - Pour sûr qu'ça masse mieux qu'une chatte?

Avec des grognements il continue à balancer des coups de butoir dans mon cul. Ses couilles viennent frapper les miennes de plus en plus fortement. Dans ma bouche le chybre de Juju est complètement raide et commence à être agité de spasmes. A ses halètements, je devine que le plaisir monte dans son bas-ventre.

  • Tu vas jouir ? lui demande son comparse. - J'sens qu'ça monte. - On décharge en même temps ? - Alors grouille, répond Juju en soupirant.

Farid se met à m'asséner des grands coups de hanches dans les fesses en même temps qu'il s'appuie sur mes reins et presse de tout son poids. Ses couilles frappent les miennes de plus en plus fort. Je l'entend grogner pendant que Juju soupire à grande bouffées. Il retient légèrement ma tête pour me faire comprendre de ralentir.

  • Han, han? c'est bon, grommelle Farid en accélérant son rythme.

Je me doute que je ne vais pas tarder à prendre des séries de giclées dans mes deux orifices. J'étais tellement occupé à ce que faisaient mes partenaires que je ne me suis pas rendu compte que je bande aussi fort qu'eux et que ma queue arquée vers le bas entre mes deux cuisses frotte contre l'établi, ce qui m'excite bien. Les deux mecs soupirent et râlent de plus en plus fort lorsque je sens dans ma bouche les flots de sperme jaillir de la bite de Juju.

  • Putain ouaih ! lâche-t-il en appuyant sur ma tête. - Attend ! coupe Farid qui me lime à toute allure. - Trop tard, répond l'autre dans un soupir.

Juste après Juju se contracte et je sens le flot de pisse remplir ma bouche. J'avais oublié ce vice et comme il y en a trop pour le garder dans ma bouche, je me dépêche de tout avaler. Juju soupire bruyamment pendant que Farid s'acharne en grognant.

  • T'as pas fini ? demande-t-il à son collègue. - J'pisse? - Quoi ? - Essaye, tu verras c'est super d'pisser juste après avoir joui.

Cette idée doit exciter Farid parce qu'il se bloque au plus profond de mon boyau et décharge en râlant à pleine gorge. Son corps est agité de soubresauts à chaque contraction de sa prostate. Quand il se calme, Juju l'incite :

  • Vas-y pisse !

Farid se contracte et retient son souffle avant de pousser un grand soupir d'aise. Il doit se vider longuement parce que je n'entends que sa respiration pendant qu'il tient fermement mes hanches collées à son bassin. Au bout d'un moment il se détend et sort de mon cul d'un coup de reins.

  • Boah? j'aurais jamais cru que j'pouvais pisser en bandant. - C'est super, non ? - T'as raison, ça fait un peu comme si on continue à jouir.

Moi j'ai la bouche et le cul remplis de foutre et de pisse. En plus j'ai une terrible envie de me branler. Je crache sur le côté et me redresse, ce qui fait que ma queue se remet à la verticale.

  • Tu mouilles, remarque Juju en voyant mon n?ud tout baveux. - Ca l'excite c'pédé de s'faire tringler, grogne Farid. - Viens par là, commande Juju.

Je me place à califourchon sur l'établi et m'appuie dos contre le mécano pour me branler. Farid nous regarde avec un air un peu dégoûté. Il fait remarquer à son copain qu'il ne le comprend pas de faire plaisir à un pédé.

  • Il m'fait des choses que les nanas m'refusent alors j'lui dois bien ça ! - Ouaih? p't être, grommelle Farid qui vient de rentrer sa bite dans sa cotte.

Tout en les écoutant je me branle activement. Ma prostate irritée pas les va et viens de Farid devient de plus en plus sensible et je sens mon anus frémir. Au moment où je me contracte, Juju relève mon T-shirt par-dessus ma tête. Mes jets de foutre fusent et vont s'écraser loin sur le sol à côté de nous. Farid a un sifflement d'admiration en me voyant jouir. A peine le dernier paquet est-il sorti que Juju m'ordonne :

  • Vas-y, pisse !

Je fais des efforts avant de sentir le passage en force de l'urine à travers ma prostate encore frémissante et une nouvelle brûlure jouissive traverse ma queue encore raide. Ravis de ce moment agréable, je me laisse aller alors que tout ce que Farid m'a mis dans le cul sort en même temps. Ca coule de l'établi en provoquant des cris d'indignation de la part de Farid et un grand éclat de rire chez Juju. Quand tout est fini, il me repousse et saute par terre.

Je me redresse et cherche quelque chose pour m'essuyer le ventre et le cul. Juju me tend un vieux chiffon sale pendant qu'il remplit un seau d'eau. Farid d'est éloigné en grommelant. A peine nettoyé sommairement, je mets pied à terre et me rhabille. Juju lave le sol à grande eau et accroche la vieille couverture dans un coin.

Nous nous retrouvons près de la porte arrière. Juju est tout sourire et me donne une tape sur l'épaule en me promettant un prochain rendez-vous. Farid se renfrogne en disant qu'il n'en fera pas partie parce qu'il préfère mille fois se faire une nana plutôt qu'un mec. Au moment où j'ouvre la porte, Juju me fait un clin d'?il tandis que Farid est déjà retourné au fond de l'atelier. Je regrette sa décision parce que j'ai apprécié sa façon sauvage de me bourrer le cul et de le remplir de foutre et de pisse.

Pendant quelques temps nous avons continué à nous voir avec Juju puis, comme nous avons fait le tour de nos envies, nous avons espacé nos rendez-vous jusqu'au moment où nous avons cessé de nous voir.

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