Bon Voyage

By Exesxes

Published on Mar 14, 2014

Gay

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Cette histoire est une fiction qui parle de masturbation entre deux adultes consentants. Si vous n'êtes pas d'accord avec le sujet, ne la lisez pas. Mais si ça vous intéresse, je suis ouvert a toute remarque ou suggestion.

This story is a fiction about masturbation between two consenting adults. If you disagree with the subject, don't read it. But if you're interested, I'm open to any comments or suggestions.

Exes

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BON VOYAGE

Quand on a 18 ans et qu'on vient de terminer son apprentissage, on a envie de goûter à son indépendance et de découvrir d'autres horizons. C'est ainsi que Kévin se retrouve le long d'une nationale en train de lever le pouce. Il vient d'obtenir son CAP de boulangerie et avant de rechercher un emploi, il veut prendre du bon temps. Il est de belle taille, finement musclé, les cheveux blonds en brosse. Un duvet de moustache lui donne un air d'adolescent trop vite grandi. Vêtu d'un jogging et d'un t-shirt, il porte juste un sac à dos. Il voyage léger et cherche à épargner le moindre sou pour pouvoir profiter le plus longtemps possible du bord de mer en Espagne.

Depuis plus d'une heure qu'il lève le pouce, personne ne s'est arrêté. Il commence à se décourager lorsqu'un énorme camion ralenti à son approche et s'arrête bien plus loin. Kévin court dans sa direction et s'approche de la porte du conducteur. Un visage jeune derrière la fenêtre ouverte lui demande où il va. Par un merveilleux hasard, le chauffeur lui apprend qu'il va aussi en Espagne. Prestement, Kévin fait le tour de la cabine et grimpe par la porte que le chauffeur lui a ouverte. Celui-ci est un homme encore jeune, d'allure joviale, brun, pas fraîchement rasé, il porte de grosses lunettes à soleil, un t-shirt publicitaire et des jeans serrés.

Après avoir défini le parcours, les deux hommes font connaissance. Avec l'enthousiasme de la jeunesse, Kévin parle de son apprentissage et de son désir de décompresser. Le chauffeur se présente à son tour. Julien a tout juste 10 ans de plus que Kévin et il conduit un camion depuis qu'il est sorti de son service militaire. D'abord il a fait de courts trajets puis, l'expérience aidant, il s'est orienté vers l'international. Normalement, il devrait avoir un coéquipier mais par économie, son patron le laisse voyager seul. Julien est jovial et rit souvent, il communique sa bonne humeur à Kévin et les deux jeunes hommes se trouvent très vite en bonne entente.

Kévin découvre l'intérieur d'une cabine de camion. C'est bien loin de ce qu'il imaginait. Les véhicules rudimentaires et sans confort des anciens films sont des objets de musée face à ces cabines bien aménagées et même décorées avec un certain kitch? des rideaux rouges frangés de pompons blancs, des parois matelassées, un tableau de bord qui ressemble à celui d'un avion décoré de fausses boiseries, des sièges individuels presque moelleux, bref tout un confort dont il s'étonne auprès du chauffeur.

  • C'est notre maison, explique celui-ci, on y passe plus de temps que chez nous. On y dort et quelques fois on y mange aussi. Alors il faut que ça soit agréable et qu'on s'y sente bien.

Kévin approuve cette vision et questionne Julien sur la vie d'un chauffeur de camion. Tout heureux d'avoir quelqu'un à qui parler, Julien ne se fait pas prier pour parler de ses trajets et des événements qui émaillent la vie d'un chauffeur routier. Ainsi les heures passent et à midi les deux jeunes décident de s'acheter un sandwich au bord de la route. Puis ils vont aux toilettes où Julien passe un certain temps devant le lavabo à se laver les mains et s'asperger la figure. Kévin qui est juste à côté l'observe dans le miroir. Il est frappé par la grosse bosse moulée par la braguette du jeans de son voisin. Il ne peut en détacher ses yeux mais quand le routier se redresse et le regarde dans le miroir, Kévin quitte précipitamment la lavabo.

De retour dans la cabine du camion, Julien préconise une demi-heure de sieste afin d'être en forme pour le reste de la journée. Il verrouille les portes, tire les rideaux tout autour de la cabine et va s'étendre sur la couchette qui est derrière les sièges et invite Kévin à en faire autant. Celui-ci hésite et tente de rester sur son siège mais très vite il se rend compte de l'inconfort et accepte de rejoindre le routier. La couchette est spacieuse et les deux hommes y sont à l'aise pour faire un petit somme.

Comme s'il avait un réveil dans la tête, Julien ouvre l'?il au bout d'une demi-heure. Son voisin dort à poing fermé et le routier sourit en voyant la superbe tente qui couvre une érection magistrale. Comme il se retourne sur le côté pour mieux le voir, Kévin se réveille. Il ne se rend pas tout de suite compte de son état et c'est le regard appuyé de Julien qui lui fait prendre conscience de son état. Le jeune homme rougit jusqu'à la racine des cheveux et tente de rectifier sa tenue mais ses vêtements amples et souples ne lui permettent pas de masquer sa superbe érection. Julien éclate de rire.

  • T'en fais pas, je suis un mec et ça m'arrive plus souvent que tu le crois. - Serré comme tu l'es, tu dois bander tout le temps, s'enhardit Kévin. - C'est surtout la position pendant la conduite qui fait ça. Mais quand ça m'arrive, je me soulage tout de suite, comme ça je suis tranquille

Ces mots troublent Kévin et en même temps ne calment pas son érection. Au contraire, ça commence même à lui faire mal. Tout comme Julien, il résout d'habitude la question en se soulageant rapidement mais la présence d'un inconnu le bloque. Julien semble se rendre compte du trouble du garçon et fouille dans une niche derrière lui. Il en sort un instrument bizarre qu'il tend au jeune homme. C'est un gros tube transparent rempli d'une matière translucide qui est renflée d'un côté.

  • Tiens, voilà ce que j'utilise, fais-toi du bien, dit le camionneur lui en tendant l'objet.

Le jeune ne sait pas ce que c'est et Julien lui explique que c'est une aide à la masturbation. Un conduit en matière très souple qui donne l'impression d'un sexe dans laquelle il peut enfiler sa bite et jouir. Cette idée amplifie encore l'érection de Kévin mais il ne s'est encore jamais branlé devant quelqu'un et ça le gêne. Cependant Julien prépare l'objet en l'enduisant de lubrifiant et le tend au jeune homme.

  • Allez, vas-y, tu verra comme c'est génial !

Hésitant, Julien soulève timidement ses fesses pour baisser son jogging et son caleçon. Puis il découvre un braquemard presque violacé tellement il est gonflé. le camionneur pousse une exclamation de surprise.

  • Putain ! T'es vachement bien monté.

Kévin le prend comme un encouragement et se détend un peu. Le camionneur lui demande de tenir sa bite pointée en haut et y verse généreusement du lubrifiant puis il pose l'objet sur la pointe du gland et dit à Kévin de le prendre en main. Toujours hésitant Kévin tient ce tube et le pousse doucement vers le bas. Il lui semble que son gland est retenu par quelque chose qui résiste puis il pénètre doucement. Il ne peut pas retenir un soupir de satisfaction. La bite est compressée dans un conduit souple qui le masse sur toute la longueur. Le plaisir est intense. Kévin fait aller et venir l'objet à travers lequel il peut voir la silhouette de sa queue. Le fait de l'avoir serrée à ce point le met dans un état second.

A côté de lui, Julien le regarde faire en retenant son souffle. Lui qui connaît les effets que cela produit semble ressentir le même plaisir intense que son passager. Il voit le jeune homme accélérer la cadence en soupirant entre ses dents serrées. Kévin est dans un état second, il sent que sa queue a doublé de volume. Le masturbateur vient taper sur ses couilles qui sont collées à la base de sa queue et ça lui fait un bien fou. La crampe commence à saisir son bas-ventre. Julien halète aussi fort que lui. Il essaye de faire changer se position à sa queue qui grossit de plus en plus. Kévin commence à râler sous l'effet de la contraction. il grogne et soupire en faisant aller et venir le manchon à grande vitesse.

  • J'vais jouir ! lâche-t-il en gémissant. - C'est bien, l'encourage Julien. - J'fais dedans ? hoquette le jeune homme - Oui, lâche tout? soupire Julien qui a ouvert sa braguette.

Kévin colle l'instrument contre son ventre et jouit en râlant. Julien voit la bite du jeune homme qui dégorge une purée abondante dans le conduit translucide. Les yeux collés sur la scène, il dégage un mandrin de belle taille de son jeans. Kévin a la tête en arrière et halète doucement tant le plaisir a été intense. En reprenant ses esprits, il regarde le camionneur et reste la bouche bée devant le membre que celui-ci tient en mains.

  • Qu'est-ce que tu veux, moi aussi je bande, s'excuse Julien. - T'as un de ces mastard ! s'exclame le jeune homme. - Le tien est pas mal aussi, le rassure l'autre.

Puis Kévin regarde sa queue qui se dégonfle lentement dans le tube.

  • Maintenant j'fais comment ? interroge-t-il. - Passe-le moi, je vais m'finir aussi. - Ca se vide pas ? s'étonne Kévin - Allez, donne ça, répond Julien en prenant l'objet en main.

Il l'incline à l'horizontale sur le ventre du jeune homme et le tire doucement. La queue ramollie en sort puis le chauffeur pose rapidement l'embout sur son propre gland violacé et l'enfonce d'un trait.

  • Aaah? soupire-t-il, c'est tout chaud comme une chatte et ton foutre me la fait glisser comme dans une meuf qui mouille à fond.

Kévin est interloqué de se trouver en telle intimité avec un type qui était encore un inconnu quelque heures auparavant. Julien se branle sans aucune timidité en râlant et soupirant de plaisir. La rapidité du rythme qu'il s'impose a vite fait de faire monter son plaisir.

  • Putain c'est bon ! J'vais jouir? annonce-t-il.

Kévin qui, à son tout, fixe le tube translucide voit le braquemard de Julien s'agiter de spasmes et projeter des gros paquets blancs. Le haut de l'instrument qui contenait déjà son propre foutre se remplit de plus en plus. C'est la première fois qu'il voit un autre mec jouir et ça l'excite passablement. Julien maintient l'objet pressé contre la base de son membre et reprend ses esprits en soupirant bruyamment. Quand il se sent plus calme, il se met sur le côté et sort sa bite toute luisante de l'objet.

  • Tu vois, c'est génial et en même temps t'en fous pas partout en jouissant, précise Julien.

Force est de constater qu'à part leurs queues luisantes de sperme et de lubrifiant, il n'y a aucune trace de leur masturbation.

  • Et après, tu fais comment ? demande Kévin.

Pour toute réponse, le camionneur se rhabille et passe sur le siège. Il demande à Kévin de lui donner l'instrument sans le renverser. Ayant ouvert les rideaux, il baisse la fenêtre et renverse le contenu sur le sol en l'agitant pour bien le vider. Kévin s'est rajusté et saute sur le siège à côté de lui.

  • Et si quelqu'un voit ça ? demande-t-il. - Si tu savais le nombre de routiers qui se branlent dans où à côté de leur bahut, rigole Julien.

Le jeune homme découvre une face du métier qu'il n'avait pas imaginé. La vie en solitaire demande quelques compensations. Le chauffeur reprend son instrument et le glisse dans une poche de sa portière. Puis il met le camion en marche pour continuer la route.

  • Dans les prochaines chiottes je le laverai et il sera de nouveau prêt à servir. - C'est quoi ? - J'ai pas de nom, en anglais ils disent "ice lady", la femme de glace? répond Julien. - C'est la première fois que je me suis branlé devant quelqu'un d'autre, avoue Kévin. - Quoi ?! interroge le camionneur, t'as jamais fait de concours de branle au bahut ? - Euh?non, répond le jeune homme qui avait toujours été très pudique.

Chacun rentre dans ses pensées. La route est monotone et Julien met la radio pour meubler le silence. A la prochaine halte, Julien emporte discrètement son objet aux lavabos et le rince pendant que Kévin passe aux urinoirs. Ensuite le camionneur lui demande de remettre l'objet dans le camion pendant qu'il se soulage. Le jeune homme en est tout troublé et s'empresse de faire disparaître l'instrument dans la cabine.

Puis le parcours reprend jusqu'au soir. Julien veut dépasser le plus loin possible la frontière avant de s'arrêter pour la nuit. Enfin ils trouvent une station service qui a un parking pour poids lourds. Ils s'y arrêtent et vont se soulager, se débarbouiller et se restaurer. Leur expérience les a rapproché et ils se comportent comme s'ils faisaient équipe depuis longtemps. Après le repas, ils font un tour de la place pour se dégourdir les jambes et ensuite montent dans le camion pour dormir un moment.

Après avoir verrouillé les portes et tiré les rideaux, ils montent sur la couchette. Cependant Julien n'arrête pas de se tourner et retourner, ce qui empêche Kévin de dormir. Au bout d'un moment, le chauffeur retourne sur son siège et prend dans la portière, l'objet avec lequel ils s'étaient masturbés. En remontant sur la couchette, il dit à Kévin :

  • Ca va m'aider à m'endormir?

Il ouvre sa braguette et sort sa queue qui est déjà grosse à l'état flasque. En quelques coups de main, il lui la vigueur nécessaire pour entrer dans l'instrument. Kévin est impressionné par la taille de la bite de son voisin. Jamais il n'aurait imaginé qu'un mec puisse être équipé de la sorte. Il ne peut s'empêcher de regarder comment le gland puis la hampe pénètrent dans le tube. Julien soupire de plaisir en se poussant le plus loin possible. Avec des gestes lents, le camionneur fait aller et venir son chybre dans l'objet. Le fait de voir sa silhouette par transparence rend la chose encore plus excitante. Kévin sent que da propre bite est en train de prendre du volume.

Julien prend son temps pour savourer le bien-être que lui procure cette masturbation. Avec des soupirs d'aise, il varie le rythme avec lequel il fait aller et venir le tube sur sa bite. Kévin est de plus en plus excité. Sa queue est maintenant toute raide et il passe sa main sous son caleçon pour se toucher. La camionneur grogne doucement en se tordant de plaisir. Habitué à se satisfaire en solitaire, il ne se rend pas compte que son voisin est de plus en plus chaud. Quand il gémit en sentant la pression devenir trop forte, Kévin sort sa queue pour commencer à se branler.

Avec un râle de plaisir, Julien immobilise l'engin contre la base de sa queue et décharge abondamment. Kévin voit les paquets épais jaillir du gland et remplir le haut du tube. Julien savoure son extase pendant un moment puis ouvre les yeux et remarque que son voisin est en train de se branler en regardant à travers le tube la masse blanchâtre au sommet de sa bite.

  • Attend, je te le passe ! - Mais il est déjà plein, remarque Kévin en soupirant. - Tu vas voir, c'est comme une chatte bien mouillée...

Sans réfléchir, Kévin prend l'objet et y enfile sa queue raide comme un piquet. La sensation de chaleur et d'humidité dans lesquelles il enfile sa bite le fait soupirer.

  • Ouaaahhh?

Les mains croisées derrière la nuque, la bite luisante et ramollie pendant en dehors de sa braguette, Julien le regarde faire. Kévin ne prend pas le temps de savourer le bien-être que lui procure d'instrument. Dans la fougue de sa jeunesse, il cherche à atteindre le point de non-retour le plus vite possible. La douce chaleur et la viscosité de l'objet le rendent fou d'excitation. En quelques minutes, il sent la crispation monter dans sa queue et s'immobilise.

  • Ouiiii? gémit-il.

Les jets fusent et vont se mêler à la masse de foutre que Julien avait déchargé. La bite de Kévin est agitée de spasmes visibles à travers le tube. Lorsque tout se calme, Julien prend l'initiative de retirer l'instrument en le mettant à plat sur le ventre de son voisin afin de ne pas le laisser se vider. Puis il le pose verticalement, coincé contre le dossier de son siège.

  • Je m'en occuperai demain. Maintenant profitons du soulagement pour dormir.

En effet, les deux hommes s'endorment rapidement et c'est Julien qui réveille son voisin au lever du jour. Prestement les deux hommes descendent du camion. Julien vide son tube dans les fourrés et le nettoie à une fontaine proche puis ils vont vers le bâtiment pour se débarbouiller et prendre une collation.

Le reste de la route se passe dans le calme et la bonne humeur. En arrivant à la destination que Kévin s'était fixée, Julien explique au jeune homme qu'il fait chaque mois le même trajet et que s'il le désire, ils pourront faire route ensemble pour le retour. Heureux à l'idée de revivre la même expérience, Kévin accepte et les deux hommes se fixent un rendez vous avant de se séparer.

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