Mecano Crade

By Exesxes

Published on Nov 11, 2013

Gay

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Cette histoire est une fiction qui parle de sexe crasseux dans un garage entre deux adultes. Si vous n'êtes pas d'accord avec le sujet, ne la lisez pas. Mais si ça vous intéresse, je suis ouvert a toute remarque ou suggestion.

This story is a fiction that talks about dirty sex in a garage between two adults. If you do not agree with the subject, do not read it. But if you're interested, I am open to any comments or suggestions.

Exes

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MECANO CRADE

Je suis mécano dans un garage de banlieue. L'autre vendredi soir le patron m'avait permis de bricoler la bagnole d'un copain après le boulot. Ce cochon avait pas du la donner à réviser depuis longtemps parce que le moulin était vachement encrassé. Heureusement que ma cotte était vieille de quinze jours parce qu'en une plombe j'ai été plus salopé que le moteur. J'avais du cambouis plein les mains, les bras et le combine, j'en avais même jusque sur la gueule. Quand j'ai eu terminé, je suis allé fumer une clope sur le trottoir avant de me laver et de me changer.

Une tire s'est arrêtée juste devant moi et un mec encore jeune, vachement bien sapé en costard cravate, est descendu. Il devait me trouver vraiment dégueu parce qu'il m'a bien regardé de haut en bas. D'habitude c'est les gonzesses qui me reluquent, je leur plais avec ma trentaine, ma peau mate et mes cheveux bruns. Et quand elles aiment mes poils partout et mes joues pas rasées tous les jours, je me les fais quand je veux et comme je veux. C'est vrai que des fois, il y a aussi des types qui me matent mais je m'en fous du moment qu'il viennent pas m'emmerder trop près. De toutes façons ça me fait pas peur de voir un mec à poil, vu que, mes potes et moi, quand on est pétés, on fait des concours de branle dans les chiottes du bistrot pour voir celui qui gicle le plus fort. En fait, je me faisais du cinéma parce que le type m'a simplement demandé:

  • C'est vous qui servez à la pompe ?

Je lui ai répondu que c'était fermé depuis deux plombes et que je faisais des heures sup tout seul. Il a garé sa tire et il est venu me demander du feu en me posant une question de mécanique. Comme je comprenais pas trop bien de quoi il parlait, je l'ai fait entrer dans le garage pour qu'il me montre sur un moteur. Ce gars était pas con et drôlement sympa. On a discuté un peu, alors je me suis appuyé contre une tire et lui il est resté devant moi.

Au bout d'un moment, j'ai vu que le mec regardait vers mon bide. J'ai cru qu'il observait le ceinturon que je porte sur mon bleu pour y accrocher des outils, mais ses yeux brillants mataient plus bas et en plus il remuait une main dans la fouille de son pantalon. J'étais prêt à parier qu'il se touchait pendant qu'on causait. Histoire de voir si je me faisais pas des idées, j'ai utilisé un truc qui marche bien pour faire mouiller les nénettes en chaleur; j'ai posé mes fesses sur un capot et je les ai glissées en avant pour bien mouler mon paquet. J'avais tout juste, le gars arrêtait plus de jeter des coups d'oeil vers mes couilles et sa main y allait toujours plus fort dans sa poche. Pour lui montrer que j'avais repéré son manège, je lui ai balancé:

  • Vous allez tacher votre froc...

Ca l'a stoppé net, le type est devenu tout rouge mais il a pas retiré sa main de sa poche. Il a bégayé quelque chose que j'ai pas pigé mais en tous cas j'étais sûr que j'avais foutu la trouille à cette pédale. Ca me faisait marrer de le voir flipper comme ça, alors j'en ai rajouté:

  • Vous avez été dans un ciné porno pour être dans cet état ?

Le gars a continué a bafouiller des trucs. J'ai cru comprendre qu'il voulait dire qu'il était très excité, qu'il avait vachement envie de se branler et qu'il pouvait pas s'empêcher de regarder mes couilles. Moi et mes potes, on se mate aussi nos bites quand on fait un concours de branle mais c'est pour voir où on en est. Ce qui nous excite, c'est les saloperies sur les nanas qu'on se raconte. Tandis que ce mec, lui il s'excitait en matant mon braque sous ma cotte cradingue pendant qu'on parlait mécanique... Je me suis demandé ce qu'il pouvait trouver de bandant à ça. Je l'ai prévenu:

  • C'est pas que ça me dérange... mais moi je fais jamais rien avec les mecs.

C'était vrai, avec les copains on fait ça seulement quand on a une biture et qu'on est en manque de nanas. Et puis on touche que la sienne, pas celle des autres. Du coup, j'ai repensé à la dernière fois qu'on avait fait ça avec les potes et je me suis marré en remuant la tête. Le mec a dû croire que je voulais dire oui, parce qu'il a ouvert son froc et baissé son slip. Naturellement j'ai maté sa teub; ce con était mieux monté que j'aurais pensé, sa gaule était au moins aussi balaise que la mienne. J'ai pas pu m'empêcher de lui lâcher:

  • Eh ben, il y en a qui doivent pas s'emmerder...

Il se l'est tout de suite secouée en fixant mes burnes. Ce salopard commençait à m'exciter. Il me rappelait un pote qu'on avait tellement allumé avec une histoire salace qu'il s'était branlé comme un dingue sans nous attendre. En repensant à ça, j'ai pas pu me retenir de triquer. Quand le mec a vu que je me redressais pour dégager mon pieu qui se tendant, il s'est arrêté pour me dire:

  • Ah, ça t'excite quand même ! montre-la moi...

J'ai voulu lui faire voir qu'il était pas le seul à en avoir une grosse, alors j'ai ouvert ma cotte mais juste le bas, pas plus haut que le ceinturon, et je l'ai sortie. Avant que je puisse bouger, le gars est tombé à genoux pour me la pomper. Ca m'a tellement surpris que j'ai pas pu me dégager. Ce salaud s'était agrippé à mes cuisses en avalant ma tige jusqu'au bout. Ses lèvres serraient la base de mon pieu et les poils de son menton râpaient mes poches à foutre ça faisait un effet comme j'avais jamais ressenti. Je sentais mon gland passer dans sa gorge, aucune nana ne l'avait prise si profond. Pendant qu'il me pompait, il a passé sa main dans ma cotte pour faire sortir mes boules et sans prévenir, il a recraché ma gaule pour les gober toutes les deux d'un coup et les faire rouler sur sa langue. On m'avait encore jamais fait ça comme ça, j'en ai gueulé de plaisir et je lui ai tenu la tête en soupirant:

  • Putain... c'est booon ! Continue... ouiii... Il s'est pas fait prier et il a continué à me sucer et à me lécher sans s'arrêter. Mes burnes ont commencé à se serrer contre ma queue pour se vider alors il a relevé la tête, il les a prises entre ses doigts et il a tiré dessus pour les faire redescendre. C'était bon de le sentir me tripoter les roustons comme ça, ce salopard connaissait des trucs qui font vachement de bien... En attendant que ça se calme dans mon bide, le mec se branlait comme un dingue en matant mon braque qui battait dans le vide devant son nez. Quand mes poches à foutre sont redevenues plus souples, le type s'est remis à me pomper en me branlant. La vache, c'était super, il faisait ça si bien que je me suis senti partir mais quand je le lui ai dit, il s'est arrêté et il s'est relevé pour me demander:

  • Baise moi...

J'étais vachement lancé et ça bouillonnait dans mon ventre mais ça m'a refroidi d'un coup, j'avais jamais fait ça avec un type et j'en avais jamais eu envie. Je suis pas un timide et j'aurais pas peur de toucher les couilles d'un autre mec mais l'enculer, c'est pas pareil. Avec une nana c'est excitant parce qu'on lui force un autre trou mais un type ça me branche pas. Il a insisté alors je lui ai dit que vu comment il m'avait mis en forme je préférais qu'il continue à me piper ou éventuellement qu'on se pogne en se matant mais que ça me disait vraiment rien de faire ce qu'il me demandait. Il s'est retourné en se penchant en avant et il a relevé le bas de son veston pour me montrer son cul.

  • Ca te tente pas ? a-t-il soupiré.

Il a écarté ses fesses pour me montrer son oigne tout gonflé et palpitant. Ca m'a rappelé celui d'une nana que j'avais tringlé par derrière parce qu'elle avait ses ragnagnas. Au début elle avait vachement gueulé mais après, elle était encore plus excitée que moi et elle tortillait tellement du fion qu'elle m'a fait sortir juste au moment où le jus montait. En voulant la lui remettre, j'avais largué dans sa raie et je voyais son cul qui palpitait comme si mon paf y était encore. Son trou du cul était aussi gonflé que sa moule, à peu près comme celui que ce salopard me montrait en ce moment. Sans bien réaliser ce que je faissais, j'ai passé ma main sur sa rondelle qui était aussi humide qu'une chatte. En voyant que mes doigts laissaient des traces noires, je lui ai dit:

-Putain j't'ai salopé, ça va dégueulasser tes belles fringues.

Le type s'est redressé sans un mot. Il s'est désapé en deux secondes, a tout posé sur le capot d'une bagnole et il est revenu vers moi pour me dire:

  • Voilà, tu vas pouvoir y aller sans te gêner, je prendrai une douche en rentrant chez moi...

J'avais l'air con avec ma pine raide et mes couilles qui sortaient de ma cotte pourrave devant ce type tout nu qui bandait encore plus fort que moi mais il m'a pas laissé le temps de réfléchir, il s'est foutu à quatre pattes et il a écarté ses fesses pour me montrer son oigne en me disant:

  • Baise-moi tout de suite si tu es vraiment un mec..!

Il faut surtout pas me dire des trucs comme ça. Moi, quand on me cherche on me trouve. D'ailleurs j'étais trop excité pour résister plus; je suis tombé à genoux et j'ai poussé mon noeud entre ses fesses. J'avais beau forcer, ça rentrait pas et ça nous faisait mal à tous les deux. Le type s'est dégagé et m'a dit:

  • Mets-toi de la graisse. C'est pourtant pas ce qui manque ici...

Tout ce qu'il y a comme trucs gras dans un garage, c'est du cambouis et l'huile de vidange et je me voyais pas le troncher avec ça. Je réfléchissais à ce que je pouvais avoir quand le gars a pris un petit bidon d'huile pour cardans qui était à côté de lui et me l'a tendu. Ca m'a débecté de me graisser la teub avec du lubrifiant pour moteurs et je lui ai gueulé:

  • Pas ça bordel... c'est pour les bagnoles... t'dégueulasse !

Même quand j'ai une trique d'enfer et le feu aux couilles, je dépasse pas les limites. Lui, il était hyper-excité, sa pine bavait comme j'avais jamais vu; les gouttes faisaient des filets entre son gland et le sol. Il a ouvert le bidon et me l'a tendu. Tout de suite s'est penché en avant et il a écarté ses fesses avec ses mains en répondant:

  • Ne discute pas, graisse ton piston et mets-le moi.

Ce salopard m'excitait trop et je me suis dit c'était lui qui allait prendre ça dans le fion, pas moi, alors j'ai versé un peu de ce truc épais et visqueux dans ma main pour la passer sur ma tige. Putain, c'était si gluant que j'ai fait la grimace en sentant cette graisse poisseuse sur mon chybre. Quand je le lui ai remis sur le trou, j'ai pas eu besoin de pousser beaucoup, ça s'est enfilé d'un coup. Le type est devenu dingue, il s'est mis à gueuler:

  • Tu me fais mal... oui, c'est bon... ça brûle... ah, j'aime...

Il disait n'importe quoi, il savait plus où il en était. N'empêche que moi aussi ça me chauffait vachement le dard. J'avais le noeud brûlant et comme en plus j'étais bien serré dans le cul du mec, ça m'a gonflé les burnes à bloc. Exactement comme la nana de l'autre fois, ce salaud a arrêté de gueuler au bout d'un moment et il s'est mis à tortiller du fion comme une chienne en me demandant de le tringler à fond. Pour moi, c'était pas un problème, mon pieu glissait vachement bien. Je l'ai pris par les fesses et je l'ai pistonné à mort. Je lui ai balancé des coups de bourre si puissants que ça l'a déséquilibré. Tout d'un coup il a glissé en avant. Pour pas ressortir de son trou, j'ai suivi le mouvement et on s'est retrouvés couchés sur le sol dégeulasse. Le gars m'a crié:

  • Oui c'est bon comme ça... vas y, défonce-moi... casse-moi le cul...

Il a pas du me le dire deux fois, je l'ai pris par les épaules et je l'ai limé comme une bête. Putain, l'oigne d'un mec c'est plus étroit et plus dur que celui d'une nana. Ca me laminait le chybre qui était devenu raide comme une barre de fer et je lui envoyais le plus profond possible. Au début, ça l'a un peu calmé, il grognait doucement mais au bout d'un moment il s'est remis à râler plus fort. Tout d'un coup il a gueulé:

  • Aaah... oui... je jouiiis...

Pendant qu'il prenait son pied, son cul s'est resserré très fort sur ma tige. C'était super bon de sentir sa rondelle me serrer le paf, alors je me suis redressé sur mes bras pour pouvoir le bourrer plus profond. Quand il a eu fini de jouir, il s'est détendu petit à petit et j'ai pu me rentrer encore un bout de plus. Putain que ça faisait du bien de sentir mon ventre cogner contre ces fesses musclées de mec. En moins de deux, la crampe m'a pris aux couilles et le foutre est monté dans mon braque, alors je lui ai gueulé:

  • Tiens... han... salope... aaah... prends tout...

Je lui ai balancé une bonne dose de purée dans le fion en lui enfonçant ma pine le plus loin que je pouvais. Ca a été si fort que j'avais plus de souffle et que j'ai dû attendre un moment pour récupérer un peu avant de me relever. Ma teub était toute rouge, mes poils étaient tout collants de graisse et un filet de jute s'étirait entre mon noeud et son cul.

Le gars, lui avait le dos plein de taches noires, ses fesses et ses cuisses étaient salopées par le cambouis que j'avais sur ma cotte et la fermeture de mon ceinturon était marquée dans sa peau en haut de son cul. Je l'ai aidé à se relever et j'ai vu que par devant il était encore plus sale: sa queue ramollie était cradingue, son ventre et son gland étaient pleins de foutre mêlé de crasse. Sans se frapper sur son état, le type s'est regardé un peu et il m'a dit avec un grand sourire:

  • Wouah, j'ai pris un super pied... tu m'a défoncé comme une bête! Vu comme tu as joui, je suis sûr que tu t'es aussi bien envoyé en l'air.

Je pouvais quand même pas dire oui alors j'ai rien répondu. Il m'a demandé s'il y avait un lavabo pour qu'il enlève le plus gros. Je lui ai filé des chiffons et je l'ai mené aux chiottes. En l'attendant je me suis essuyé la pine et j'ai fumé une clope. Il est ressorti un peu moins crade qu'avant et s'est rhabillé vite fait. Il avait de nouveau l'air impec dans son beau costard. En le voyant comme ça, personne aurait cru qu'il venait de se faire sauter comme une salope, par terre dans un garage. De près, il devait quand même puer la sueur et le cambouis. Il m'a serré la main et, en allant vers la porte, il a ajouté:

  • Il y a si longtemps que je rêvais de me faire baiser par un mécano bien crasseux, maintenant je pouvoir vais mieux dormir la nuit...

Je suis resté comme un con quand il est parti parce que j'avais jamais pensé qu'il y avait des pédés qui aimaient se faire tringler comme des porcs. Pendant que je me lavais, j'ai réalisé que c'était la première fois que je m'étais farci un mec et que ce vicelard m'avait fait prendre un pied comme j'avais même pas pris avec la plus salope des nanas. En repensant à ce que je venais de faire, je me suis mis de nouveau à triquer comme un âne. Je me serais bien branlé un coup mais ma queue était toute rouge et elle me faisait mal. C'était peut être parce que j'avais dû tringler trop fort ou alors à cause de la saloperie que j'avais foutu dessus; j'en savais rien mais j'ai pas pu me toucher. Je me suis changé en attendant que ça passe et je suis rentré à ma piaule en boitant, tellement mon zob était devenu sensible aux frottements de mon froc.

Ce qui me fait le plus chier, c'est que depuis ce soir-là, les meufs me font plus le même effet. J'aime toujours autant les baiser mais je crève d'envie de refaire les mêmes saloperies avec un mec. J'ai jamais osé parler de ça à personne et surtout pas aux potes avec qui on se branle les soirs de bitures; eux ils auraient pas compris. Au garage, quand un type me regarde, je me touche un peu pour voir si ça lui fait quelque chose mais j'ose pas y aller franco à cause du patron et des collègues. Le soir, je m'arrange toujours pour sortir le dernier du boulot. Je mets mes affaires propres dans mon sac, j'enfile la cotte super dégueu que j'avais le soir de la baise et je repousse mon ceinturon le plus bas possible pour bien faire ressortir mon paquet. Pendant un moment je fais un tour sur le trottoir histoire de voir si je retrouve le mec de l'autre soir mais jusqu'à présent je l'ai jamais revu. Comme je connais personne d'autre, je reste comme ça et je rentre à pied en regardant bien la tronche des types que je croise, des fois qu'il y en ait un que ça intéresse.

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