Centre Commercial

By Exesxes

Published on Aug 30, 2012

Gay

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Cette histoire est une fiction qui concerne du sexe entre deux jeunes hommes. Si vous n'etes pas d'accord avec le sujet, ne la lisez pas. Mais si ça vous interesse, je suis ouvert a toute remarque ou suggestion.

This story is a fiction about sex games between two young men. If you disagree with the subject, don't read it. But if you're interested, i'm open to any comments or suggestions.

Exes Exes@cledro.net


LE COULOIR DU CENTRE COMMERCIAL

Je me demande quelle idée m'avait pris ce soir-là d'aller explorer un couloir dérobé de ce centre commercial dans les allées duquel je tournais en rond depuis une heure à la recherche d'une queue. Je m'étais pourtant rendu compte qu'il était sur le point de fermer mais je n'avais pas imaginé que ça allait se passer aussi rapidement. J'essayais d'ouvrir toutes les portes de ce dédale lorsque j'ai vu une ombre se faufiler au loin. J'ai appelé et, au bout de quelques secondes, la silhouette est revenue. Ca n'était pas un gardien mais un loubard à l'allure franchement inquiétante. Il s'est approché de moi avec une démarche lente et chaloupée tout en mâchouillant un chewing-gum. Quand il a été à quelques mètres, il m'a lancé:

  • Qu'est-c'tu m'veux ?

Je lui ai expliqué en bafouillant que je m'étais perdu dans ce couloir et que je n'arrivais plus à sortir. Il a froncé un sourcil et m'a fixé pendant quelques secondes avant de me demander:

  • Ah ouaih... et qu'est-c'tu foutais par là ?

C'était la question que je redoutais, je n'allais pas lui dire que je cherchais une bite, quoi qu'il ne m'aurait pas déplu d'avoir une petite expérience avec un mec dans son style. Son visage osseux à la bouche charnue, ses tifs gras qui lui tombaient devant les yeux, son corps à la fois mince et robuste avaient quelque chose du mâle intégral qui provoque un certain frisson. Il avait la tenue type du loubard: le perfecto râpé, les santiags pourries et un jean crasseux dont il déformait les poches en y enfonçant les mains.

  • Eh... j'te cause ! cria-t-il pour me tirer de mes pensées.

Son exclamation m'a fait sursauter et j'ai eu les larmes aux yeux en bredouillant que je me promenais comme ça, sans but précis. Mes arguments n'ont fait que provoquer un sourire ironique et il s'est approché de moi pour me donner un coup de coude sans sortir sa main de sa poche en me disant avec un gros rire:

  • C'est les tapettes qui viennent glander dans c'coin pour chercher à s'faire reluire... t'en serais pas une des fois ?

Il m'apprenait une chose intéressante mais la prudence me disait de ne pas m'éterniser sur le sujet. Sans approuver mais sans nier non plus, j'ai pris un air innocent pour lui demander s'il savait comment sortir d'ici. Le loub ne m'a pas répondu, il m'a saisi brusquement par le col et a répété sa question en m'envoyant en plein visage son haleine qui puait la cigarette. Je me suis senti devenir livide quand il s'est mis à serrer très fort en me secouant comme un prunier. Mort de peur, j'ai fini par avouer alors il m'a repoussé en grognant:

  • J'savais bien...

Il m'a regardé du haut en bas avec un air méprisant puis s'est éloigné en me disant que je n'avais qu'à me débrouiller tout seul pour trouver la sortie. Après quelques pas, il s'est arrêté, s'est retourné et m'a envoyé:

  • Si tu m'fais une turlute, j'te montre où c'est...

Le voilà qui revenait à de meilleurs sentiments, j'ai eu un vague sourire en même temps qu'un soupir de soulagement et lui ai fait un signe d'approbation de la tête. Instinctivement, j'ai coulé un oeil du côté de sa braguette mais les plis qui déformaient son jean masquaient les formes qui m'intéressaient. Le loub a eu un geste pour me dire de le suivre et m'a conduit jusqu'à un escalier dérobé encombré de détritus. Il s'est appuyé contre un mur et a fait sauter les boutons de sa braguette en m'avertissant:

  • Si tu m'fais une vacherie j't'allonge...

Au moment où j'allais m'agenouiller entre ses jambes pour m'occuper de lui, il m'a arrêté en me demandant:

  • Sors d'abord la tienne, qu'j'voie à quoi ça ressemble une queue d'pédé...

Je lui ai obéi et j'ai dégagé ma bite qui commençait à se gonfler devant la perspective de pomper ce mec. Il l'a regardée un instant avec un air dédaigneux puis il m'a fait signe de m'agenouiller. J'ai plongé mes doigts dans son jean pour en ressortir un paf encore mou et tout recroquevillé. Je commençais à le branler pour lui donner un peu de consistance quand le loub m'a interrompu d'un coup de genoux dans le torse en lâchant:

  • Pas comme ça... avec ta langue !

L'odeur qui montait de son morceau m'indiquait que l'hygiène ne devait pas être la préoccupation majeure de ce mec, et le goût qui envahit ma bouche au moment où je l'absorbai me conforta dans cette impression. Je fis courir ma langue autour de la hampe en aspirant tant que je pouvais jusqu'à ce qu'elle se gonfle et que le prépuce se retire du gland. Le pieu était devenu bien raide mais la saveur âcre s'amplifiait au point de me donner des haut-le-coeur que le loub augmentait en poussant son braquemard toujours plus loin dans ma gorge. Au bout d'un moment je n'y tint plus et me retirai en suffoquant. Le gars me questionna abruptement:

  • Qu'est-c'qu'il t'prend ?

Je prétextai un manque de souffle pour faire une courte pause au cours de laquelle le loub me regardait avec un air railleur. Il remarqua que je bandais tout autant que lui et me demanda de me lever pour mieux voir ma queue. Quand je fus debout face à lui, il la saisit et la tordit dans ses doigts osseux en me disant d'un ton toujours aussi méprisant:

  • Ca t'sert à quoi ça ? D'toutes façons tu fais rien avec...

Cette torsion était à la fois douloureuse et excitante et je me laissais faire en luttant contre l'envie de soupirer et de crier. Quand il l'eut bien malaxée, il me lâcha en demandant:

  • Et tes burnes, elles sont comment ? Sors-les.

J'ouvris mon froc en constatant que ma queue était rougie par la pression des doigts puissants du loubard. A peine eus-je baissé mon slip qu'il saisit mes couilles et les tritura aussi violemment qu'il l'avait fait pour ma queue. Cette fois, la douleur était trop vive et je ne pus m'empêcher de hurler.

  • Gueules tant qu'tu veux, il y a personne dans l'coin..., grogna le mec en continuant.

Je ne savais plus que faire, cela m'excitait de me faire molester par ce voyou et en même temps j'avais terriblement peur qu'il ne m'esquinte. Il profita de mon hésitation pour s'exciter en continuant de plus belle à me triturer les parties. Il ne me lâcha que quand je me raidis en le suppliant d'arrêter. Fier de lui, il secoua son barreau qui avait pris des proportions considérables en me déclarant:

  • Ca t'plaît d't'faire reluire par un vrai mec, hein ?

Je lui aurais volontiers répondu que oui mais j'avais tellement peur que, renforcé dans sa supériorité, il ne me fasse subir d'autres sévices. Il sortit ses couilles par sa braguette largement ouverte et les caressa un moment tout en me regardant droit dans les yeux, puis il me dit:

  • Il va falloir qu'tu t'y remettes, elles sont pleines à raz bord d'mon jus bien gras...

Préférant encore cela aux brutalités qu'il venait de me faire subir, je me remis à genoux. Les exhalaisons de tout à l'heure s'étaient un peu estompées, ce qui me permit de mieux apprécier ce barreau raide et dur qui glissait sur ma langue. Le loub semblait savourer encore plus que moi ce que je lui faisais, il avait mis ses mains sur ma tête et remuait faiblement ses hanches en soupirant tandis que j'avais posé mes mains sur ses cuisses pour me retenir. A intervalles réguliers, ses balloches venaient frapper mollement mon menton. Nous avions trouvé un rythme qui nous convenait à tous les deux et cela aurait pu durer jusqu'à sa jouissance si un de ses poils n'était venu se loger dans ma gorge. J'ai du me retirer pour tousser, ce qui a déplu souverainement au loub et il a tonné:

  • Tu peux pas faire gaffe, connard... j'allais venir...

Les larmes de toux dans les yeux, je lui ai demandé de m'excuser mais il semblait vraiment en colère d'avoir été interrompu au moment crucial. Avec un sourire bizarre, il a ajouté sournoisement:

  • Puisqu'tu peux pas la garder dans ta gueule tu vas t'la carrer dans l'fion !

C'était ce que je redoutais, ce salaud allait me mettre le cul en sang en me défonçant comme une brute. Je restais immobile devant le mec en me demandant ce que je pourrais bien faire pour lui échapper mais il ne me laissa pas le loisir de réfléchir. Il administra une baffe prodigieuse à ma queue qui battait le vide. Cela me fit sursauter de douleur en même temps que cela m'excita énormément. Un filet de liquide visqueux tomba lentement de mon gland; le loub le regarda s'écouler.

  • Putain, tu mouilles... ! T'aimes qu'on foute des baignes sur ta queue d'pédé ? Dis, ça t'plaît... hein ? se mit-il a crier.

Il prit mes couilles dans une main et les tira violemment pour faire ployer ma bite sur laquelle sa main s'abattit à plusieurs reprises avec une rare violence. Mon sang afflua encore plus fort dans ma hampe et mon gland devint tout violacé. Je ne sentais plus mon sexe tellement il était devenu gonflé et douloureux mais le loubard continuait à s'acharner sur lui avec les mâchoires serrées par la démence. Ne tenant plus de souffrance, je lui criai que je ferais ce qu'il voulait s'il arrêtait. Il me balança une dernière gifle avec un râle de triomphe et me lança:

  • Fous-toi à quatre pattes... lopette !

Je lui obéis non sans avoir constaté que son mastard était devenu aussi congestionné que le mien. Ce qu'il venait de me faire endurer devait le survolter, il avait pu décharger son excès de sauvagerie sur un type dont il était sûr qu'il n'oserait pas aller porter plainte. Il tomba à genoux en même temps que moi et je l'entendis cracher dans sa main. J'attendis l'assaut avec une certaine angoisse et ne pus retenir une longue plainte lorsqu'il tenta de m'embrocher. Son gland, devenu énorme n'arriva pas à dilater mon muscle du premier coup et le loub se mit à grogner:

  • Putain d'merde... tu vas t'ouvrir, oui ?

Un nouveau coup de reins le fit pénétrer de quelques centimètres en déclenchant une vive douleur dans mon cul. Il ne s'arrêta pas une seconde et donna une deuxième poussée tout aussi forte qui le fit encore avancer d'un bout. Je ne pouvais plus supporter cette douleur et, en poussant un grand cri, je m'avançai brusquement pour le faire sortir. Le chybre fut expulsé avec un petit bruit de succion et il me colla un violent coup sur les fesses en grommelant:

  • J'vais t'la foutre jusqu'aux couilles... fils de pute !

A la troisième tentative, mon anneau était plus détendu, si bien que le mandrin du loub me transperça d'une bonne longueur et que je pus le garder sans trop souffrir. Le voyou eut un soupir de satisfaction et continua à pousser rageusement jusqu'à ce que son mastard me pénètre complètement. Lorsqu'il sentit mes fesses toucher son ventre, il ronchonna:

  • Aaah, bordel... c'est pas trop tôt !

Il plaqua ses mains sur mes hanches et se mit à me tamponner le cul à petits coups réguliers. Mon boyau s'était habitué aux dimensions de ce manche qui le pilonnait avec une ardeur constante et, malgré mes frayeurs, je sentais qu'il commençait à me faire du bien. Le loubard y mettait toute son énergie et me limait en profondeur en haletant à petit coups. Comme les miennes, ses couilles devaient remonter dans leur poche car elles battaient de moins en moins mollement contre mes fesses. Soudain le loub cassa le rythme pour me donner des coups plus espacés et violents en ponctuant chaque heurt d'une bribe de phrase:

  • Putain... c'est quand même ... meilleur... qu'une pipe...

Mes glandes subissaient un pilonnage en règle et devenaient de plus en plus dures sous les chocs qu'elles subissaient chaque fois que le gros noeud du mec venait y buter. J'étais de nouveau complètement excité et je me mis à crier au loub de bien me bourrer pour me faire venir. Il eut une sorte de ricanement et me répondit sans cesser de me marteler les fesses:

  • Magne-toi... moi ... j'vais pas... tarder... à juter...

En tentant de garder mon équilibre, je me tins sur une main pour essayer de m'astiquer mais le loub me déséquilibrait trop avec les puissants coups de reins qu'il m'envoyait. Quelques secondes après il se plaqua contre mon cul en gémissant:

  • Oui... ça y est ! J'découille... meeerde...

Son braquemard s'enfla dans mes entrailles et envoya de bonnes rasades de purée brûlante pendant qu'il s'agrippait à mes côtés comme un naufragé. Je sentais les spasmes de son éjaculation dilater ma rondelle pendant que le loub retenait son souffle. Tout de suite après, il de décontracta et j'en profitai pour me branler vivement. J'étais si excité que je giclai après quelques coups de poignet. Mon anus dilaté de resserra convulsivement et, dans mon extase, j'entendis le voyou grommeler:

  • Ah, tu jouis, putain... c'est bon !

Je me redressai en haletant et la bite dégonflée du mec sortit de mon oeillet avec un petit bruit mou. Nous nous sommes relevés et j'ai vu sur le visage en sueur du loubard une sorte d'expression d'assouvissement et de plaisir. Il souriait en se caressant les burnes et regardait sur le sol les traînées de jute que j'avais lâché. Il rentra prestement sa queue encore humide pendant que j'essuyai mes fesses avec un kleenex que je jetai parmi les détritus qui jonchaient l'escalier. Le visage du voyou s'était soudain refermé, il ne souriait plus, comme si brusquement il regrettait ce moment de plaisir. Quand je fus habillé, il me regarda avec le même air hautain que lorsqu'il m'avait rencontré et me déclara sur un ton méprisant:

  • En tous cas, j't'ai fait prendre ton panard avec mon chybre.

Je lui aurais volontiers répondu qu'il avait aussi bien joui que moi et qu'il s'était comporté comme un salaud mais devant son attitude à nouveau agressive et son oeil mauvais, je redoutai une nouvelle brutalité et préférai me taire. Le loub renifla un bon coup tout en continuant à me regarder de haut en bas, comme s'il ne m'avait jamais vu puis descendit l'escalier en me disant qu'il allait me conduire vers la sortie. Je le suivis dans un dédale de couloirs qu'il semblait connaître comme sa poche; il poussa quelques portes et nous avons débouché dans le parking souterrain du centre commercial. Il ne me restait plus qu'à quitter les lieux par la sortie des piétons. Au moment où j'allais le laisser, le loubard me retint en abattant sa main sur mon épaule et je crus discerner une sorte d'étincelle dans son regard pendant qu'il me déclarait:

  • Si t'en reveux, t'as qu'à t'pointer dans l'couloir où t'étais à la fermeture, j'zone toujours dans c'coin pour voir s'il y a pas des trucs à piquer...

Je lui répondis en secouant négativement la tête et la proximité de la sortie me donna le courage de lui dire qu'il avait eu un comportement de brute sauvage. Pendant quelques secondes, il eut l'air dérouté, puis il se ravisa et me considéra avec un regard arrogant pour me répondre:

  • Non mais qu'est'c'tu crois ? J'ai pas une tronche à faire des papouilles à une tante, moi ! Les pédés, ça m'sert juste pour m'dérouiller la teub et à m'vider les burnes... et ceux à qui ça plaît pas, j'leur colle un pain dans la gueule.

En le voyant frotter son poing droit dans le creux de sa main gauche, je n'ai pas demandé mon reste et m'en suis allé en marchant aussi vite que mon sexe douloureux me le permettait. Quand je suis arrivé vers la sortie, je me suis aperçu que le loub me suivait. Un peu paniqué à l'idée qu'il veuille tout de même me casser la figure, je suis resté paralysé un court instant. Il s'est arrêté, a posé sa main sur sa braguette et sa voix a résonné dans le parking:

  • Eh lopette... t'oublies pas... j'suis toujours prêt à t'foutre ma trique dans l'cul !

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