Premiers jets

By alako

Published on Dec 9, 2014

Gay

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Retranscription d'un souvenir d'une de mes premiטres masturbations alors que j'avais א l'יpoque 11 ans. Il s'agit d'une non-fiction concernant un mineur א l'יpoque ; s'il s'agit de quelque chose qui, moralement, vous repousse, je vous recommande de cesser la lecture. Pour les autres, il s'agit de ma premiטre histoire יrotique. ֹvidemment, les commentaires sont acceptיs et encouragיs. Un seul merci serait super, et m'encouragerais א continuer. Bonne lecture!

This is a retranscription of a souvenir from one of my first masturbations when I had 11 years old. It's a non-fiction concerning a minor ; if it's something which, morally, is unacceptable, I suggest you to stop reading from here. For the others, it's one of my first erotic story. Evidently, comments are welcome and even encouraged. A thank would be really great and would encourage me to continue. If I'm asked, I would probably translate it, be sure to tell me if you're interested. Good reading!

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ַa faisait dיjא un an que j'apprenais א me masturber dans ma chambre, en secret. C'est fou א quel point cette activitי lא s'יtait mise a m'habiter, c'יtait devenu mon petit plaisir secret. Plus frיquent que le Nintendo, que de jouer dehors avec mes amis, ou de faire du vיlo. Bon, niveau ami, on repassera. J'יtais de ceux qu'on prenait plaisir א יc�urer א l'יcole, א traiter de fif et de tapette sans que je ne comprenne trop pourquoi encore. ַa l'air que j'יtais pas cool, que j'n'יcoutais pas de punk ou de rap et que j'יtais pas dיrangeant en classe. En tout cas, malgrי la pression des petits cons א l'יcole, une fois chez moi, aprטs le calvaire des autres sur mon dos, je fuyais dans le sous-sol, dans ma chambre, oש l'air יtait frais, un peu humide, mais possיdant quelque chose d'intime, א moi, aprטs le stress qui me faisait transpirer dans les bus scolaires mal climatisיes.

ַa arrivait souvent que le fait de penser au moment א venir me faisait bander d'avance, dans la bus. Aprטs que mes ennemis du quotidien aillent descendus chez eux (j'יtais dans les derniers du trajet de bus), je me mettais א fantasmer א tout ce qui m’attendait comme expיrience, א mes mains sur mon pיnis, א mon corps presque nu dans les couvertes, portant une paire de boxeur pour garder un petit quelque chose pour me cacher. Les seuls moment oש j'יtais vraiment nu, c'יtait dans la douche et quand je changeais de vךtements. Pourquoi serais-je nu quand je me faisais plaisir?

C'יtait d'ailleurs une de ces aprטs-midis chaudes de fin d'annיe, dans le mois de mai, alors que je descendais les trois marches de la bus, le sac d'יcole devant moi pour cacher la bosse qui s'יtait formיe dans mes pantalons, qui tirait sur mes jeans et qui rendait humide le fond de ma poche. Je sentais la prיsence des autres qui descendaient et j'essayais d'ךtre le plus subtil possible. On ne voyait jamais חa des bosses aussi יvidentes dans les pantalons des autres, et je ne voulais absolument pas attirer l'attention plus que nיcessaire. Je me dיpךcha donc א contourner l'autobus, mais sans courir, de peur de perdre la prיcieuse יrection dans mes pantalons ; peut-ךtre avais-je honte d'ךtre aussi excitי devant tout le monde, mais j'adorais beaucoup trop la sensation de bourdonnement dans mes pantalons, la pression de ma queue contre ma cuisse, pour prendre le risque de la perdre et de m'intיresser א autre chose.

Je rentrais donc chez moi avec presse, mon petit frטre suivant plus loin derriטre, ma mטre יtant occupיe dans la cuisine. Un bref salut par-dessus le son trop fort de la tיlיvision le temps de dיlasser mes chaussures que je descendis les marches quatre א quatre. La chaleur tomba de trois degrיs tout d'un coup, et je pיnיtra tout doucement dans la rיconfortante noirceur, oש la seule source de lumiטre יtait celle qui rיussissait א se frayer un chemin א travers les stores des fenךtres en hauteur. J’avanחai lentement aprטs avoir laissי mon sac en direction de la porte de ma chambre, tout au fond du sous-sol. Ma main gauche dans ma poche, je pouvais toujours sentir mon pיnis tout dur qui n'avait pas perdu de son rythme.

Je m'יtais crיי avec le temps un rituel pour mes fin d'aprטs-midi intimes. Aprטs avoir refermי la porte derriטre moi et m'avoir assurי qu'elle יtait bien verrouillיe, je marchai lentement vers mes rideaux pour les tirer presque complטtement, laissant juste assez de lumiטre pour que je puisse voir les dיtails qui m'excitaient tant sur mon corps et pour m'assurer qu'aucun regard indiscret puisse percer le mystטre de mon isolation. Aprטs, toujours en lenteur, j'allai vers le lit avec quelque vibrations dans le corps, un doux stress commenחant א s'installer en moi.ְ genoux sur le lit, je retirai lentement mon chandail d'abord, puis, mes pantalons aprטs avoir dיtachי ma ceinture avec grande dיlicatesse pour ne pas la faire cliqueter et faire trop de bruits - je pensais bien naןvement que ceci serait suffisant pour attirer l'attention.

J'enlevai au final tout sauf mes bas et mes boxers marquיs par une tגche liquide un peu collante ; ma curiositי ne s'יtanchait jamais, et je finis par les retirer avec un peu de regret, les amenant א mon nez pour ressentir les effluves dיjא souvent reniflיes. J'adorais l'odeur de mes sous-vךtements lיgטrement souillיs par une journיe scolaire bien remplie, surtout lorsque mes יrections amenait mon pיnis א יtendre toute ses humeurs dans le tissu de ceux-ci. Par contre, ce n'יtait pas le vךtement que je cherchais pour ma branlette ; א quatre pattes maintenant sur le lit que je m'apprךtais א dיfaire, je glissai ma main sous l'un de mes oreiller pour ressortir une autre paire de boxers que je rיservais pour ces occasions. Il s'agissait d'un boxer gris foncי א l'יlastique gris pגle, comme je voyais les autres prי-adolescents porter sous toute une palette de couleurs, dont le look avait quelque chose d'attirant. C'יtait mon seul de son genre, et aprטs avoir vu tant de garחons que je trouvais mignons les porter, j'avais dיveloppי une sorte d'attachement pour ceux-ci. Ils יtaient miens, et c'יtait יvident : encore une fois, je les amenai א mon nez pour prendre une effluve. Sous mes doigts, je sentais le tissus rigide craquer sous les couches de sperme sיchי et dans mes narines, l'odeur גcre d'urine, d'humiditי et de transpiration. Je fut vite submergי par les souvenirs de mes autres aventures solitaires, et le tout m'יtourdit rapidement. C'יtait mes boxeurs de branlettes, je les revךtis lentement, avec doigtי, mon pיnis tout raide se repliant vers l'arriטre sous le tissu rigide de l'avant du boxer, mes fesses remplissant le derriטre. Un sourire aux lטvres, je tourna sur 4 pattes, glissa sous les couvertes et les tira vers moi.

Alors commenחa l'expיrience : dans mon nid encore frais mais envahi par une forte odeur d'humiditי - j'adorais retarder le nettoyage de mes draps pour l'odeur qui s'y accumulait - je glissa mes mains sur mes bras encore imberbe puis sur mon torse, oש quelques poils pגles commenחait א pousser sur le pourtour de mes mamelons biens durs et dont les pointes יtaient hיrissיs, rיaction que j'appris א reconnaמtre et א apprיcier. Une main descendit le long de mon corps, caressant lentement mon ventre rond, vestige de mon enfance, puis glissa jusqu'א l'יlastique de mes boxeurs, pour ensuite toucher lentement le coton raide et rugueux qui frotta sur mon prיpuce et mon pubis. Mon index et mon majeur s'introduisirent dans le repli de tissu א l'avant et allטrent trouver ma verge bien יcrasיe sur mon pubis, pour aprטs la faire sortir lentement par le trou d'oש ils venaient, pendant que mon autre main s'affairait sur le reste de mon corps, caressant anches, cuisses, fesses tendues et ventre qui se dressait vers le haut dans mes acrobaties avec ma queue. Ma main droite rיussit finalement א faire sortir mon membre, celui-ci se dressant fiטrement par l'ouverture de mes boxers, tirant sur les draps de mon lit et faisant apparaמtre une bosse bien proיminente devant moi. J'יtais encore prיpubטre et pas tant יquipי, mais une יrection bien forte suffisait א rendre le tout assez grandiose mais surtout excitant.

Je commenחai donc le va-et-vient familier, qui fut d'ailleurs appris assez instinctivement. En effet, vers 10 ans, aprטs un cours de Formation Personnelle et Sociale en 6e annיe, on nous avait fait יcouter une vidיo nous apprenant plusieurs choses en lien avec le sexe, dont la masturbation. Si celle-ci recommandait de jouer avec le prיpuce dans n'importe quel sens, j'arrivai moi-mךme א la conclusion le soir-mךme qu'un va-et-vient plus franc du poignet serait nיcessaire aprטs un essai infructueux avec mon pיnis.

Je commenחai donc le mouvement de haut en bas, le plus lentement possible, sachant que j'יtais dיjא excitי et que le plaisir serait vite gגchי sans prיcautions. C'יtait difficile de garder le contrפle sur mes mouvements ; quelque chose en moi semblait prendre le dessus sur ma raison, alors que de temps en temps je plongeais dans mes pensיes, des images excitantes de garחons de mon גge jaillissants, d'abord habillיes, puis, de plus en plus dיshabillיes par mes songes. Il y avait Thierry, avec ses cheveux bouclיs blonds, tout frךle mais si charmant, dont j'imaginai le corps א la peau ferme, aux courbes gracieuses, et aux boxers rayיs rouges que j'ai pu scruter si souvent dos א lui, dans les corridor de l'יcole. Mon attention aujourd'hui יtait fixיe sur lui, et א l'יpoque, je comprenais encore mal ce que c'יtait le sexe : je ne pouvais que l'imaginer presque nu, et l'admirer pour ce qu'il יtait, avec son petit visage potelי et ses yeux bleu vifs. Sans trop m'en rendre compte, le mouvement de ma main s'accיlיra aprטs une minute de masturbation alors que mon autre main alla toucher et frotter le tissu de mes boxers, m'imaginant toucher ceux de Thierry. Je sentais la peau de mon scrotum se raidir malgrי la chaleur, alors que ma verge br�lait dans le fond de ma paume, les veines saillantes frottant contre la peau de ma main de plus en plus moite et glissante. J'ouvris les yeux lentement alors que je sentais un picotement envahir mon corps, surtout autour de mon pיnis et mes couilles que j'imaginais bien tendues par mon scrotum. L'יmotion qui m’envahissait me renvoya plonger dans mes pensיes, alors que je perdais le contrפle sur la suite des יvיnements. Ma main droite bougeait toute seule, m'empoignant la verge avec force, mes couilles devenant douloureuses. Tendu sur le matelas, tentant de tirer les couvertes hors de moi avec ma main libre, je finis par יjaculer avec force. Le liquide clair et aqueux, prיpubטre, gicla d'abord avec force jusque sur mon torse, sur mes mamelons et mon cou, puis fini par tomber moins loin, glissant sur mes doigts jusque sur le tissus redevenu humide et poisseux de mes boxers, ma main s'activant dans une dernier va-et-vient rigoureux. J’arrךtai subitement, ne sachant pas s'il יtait possible de continuer l'orgasme, dיjא bien repu de ce plaisir enivrant. L'esprit dans les brumes, je me laissa bercer par le pouls rיgulier de mon corps, alors que l'ivresse post-coןtale m'embrassait et me laissa rךveur dans mes couvertes mouillיes de ma transpiration et de quelques gouttes rebelles de mon foutre.

Quelques minutes plus tard, un frisson parcouru mon corps maintenant refroidi et calmי. Je dיcida d'enlever ma paire de boxers salie par tant de plaisir, qui me servit de serviette pour essuyer tranquillement mon pubis encore lisse, puis mon ventre et mon torse. Je m'habillai rapidement aprטs avoir cachי le morceau de tissu couvert de sperme sous mon oreiller, rebandant presque א l'idיe du plaisir א renouveler dטs le lendemain, aprטs un voyage en autobus bien bandי.

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