Big Apple

By Adelard Dore

Published on Jun 6, 2014

Gay

Big Apple 7

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L'impromptu de Tribeca

Quelques jours après la fin de mes rencontres avec Stephen, mon répartiteur me confia un autre « client ». Comme toujours, la carte de présentation était sibylline et n'offrait à peu près pas de détails. J'étais chanceux qu'elle ne m'induise pas tout à fait en erreur comme ce fut presque le cas pour Stephen. On me parlait d'un jeune homme cette fois-ci, vingt-cinq ans, qui avait été réduit en esclavage par un ancien compagnon d'école et qui n'arrivait pas à retrouver une sexualité normale, éprouvant toujours une sorte de nostalgie pour les activités de son ancien « tortionnaire ». « Oh lala, me dis-je, suis-je la personne indiquée pour ce genre de problème »? Le répartiteur me rassura en m'indiquant que le client avait surtout besoin de parler de ses expériences. Il était persuadé que cela le libérerait suffisamment pour donner le coup d'envoi à de nouvelles expériences, plus « normales » et peut-être différentes de celles auxquelles il semblait être resté accroché.

Il se présenta chez moi un dimanche matin plutôt gris. Je fus surpris par la beauté à la fois discrète et éclatante de ce jeune homme. Il était grand, mince, avec une taille incroyablement menue d'où jaillissaient des fesses splendides, bombées, qui paraissaient très fermes et qui semblaient sortir du bas du dos comme des pastèques se détachant de leur fragile pédoncule. La discrétion de sa beauté venait de sa timidité qui le portait à bouger un peu nerveusement et l'éclat de sa beauté était produit par la majestueuse prestance de sa virilité indiscutable. Il avait les cheveux et les yeux bruns. Ses cheveux étaient sans boucle. Ce matin-là cependant ils avaient l'air de ne pas avoir été coiffés. À vrai dire, ce matin-là, il était arrivé chez moi comme quelqu'un qui a passé la nuit en boîte ou comme un joggeur qui a couru une bonne heure. Il était négligé; la barbe offrait une ombre très présente de fin d'après-midi, ses vêtements, jeans et t-shirt, étaient défraîchis et le t-shirt comportait quelques taches sèches translucides qui ressemblaient beaucoup à des gouttes de sperme séché. Il dégageait une odeur générale de transpiration que je trouvais toutefois extrêmement sexy.

Cette tenue plus que discutable ne semblait pas convenir à ses bonnes manières de garçon bien élevé. Il était poli, avec des gestes délicats et sa voix chaude, grave mais timide, enrobait son personnage d'un étrange mélange de sensualité à la fois d'homme et de petit garçon. On aurait eu envie de le bercer tout en sachant que c'était à lui que ce rôle revenait. On sentait qu'il était « bottom » mais qu'il avait tout pour être « top », si vous voyez ce que je veux dire.

Je lui offris un café qu'il accepta volontiers et nous passâmes au salon pour causer. Il me parla un peu de son enfance mais c'était seulement pour que je sache qu'il avait eu une enfance heureuse et qu'il n'y avait rien à chercher de ce côté-là. Il me parla de sa formation universitaire et de son emploi pour une firme spécialisée en communication. Il habitait ce nouveau quartier de New York situé à Manhattan que l'on appelle Tribeca, abréviation qui retient les premières lettres de trois mots importants : TRIangle BElow CAnal Street. Le quartier formait en effet une sorte de triangle qui partait de Canal Street et descendait vers le sud, vers le quartier des affaires. Il habitait un loft à l'étage supérieur d'un édifice. Je n'osai lui demander ni le montant du loyer (s'il était locataire) et encore moins le prix d'achat (s'il était propriétaire); le coût des loyers et des appartements dans ce nouveau quartier branché étant astronomique. À moins d'un solide héritage, il devait vraiment faire un bon salaire.

Puis, il en vint tout naturellement à son histoire, celle pour laquelle il venait me voir.

Une année plus tôt, un dimanche matin gris de novembre, vers 9 heures, il revenait à peine de faire son jogging sous le crachin des brumes de Manhattan, il sentait fort la transpiration_ je faillis lui dire : « comme maintenant »_ mais je me tue, quand la sonnette retentit pendant qu'il se préparait un café. Il n'attendait personne. Il crut que son voisin de l'étage inférieur avait encore une fois oublié ses clés. Comme il ne verrouillait jamais son appartement, il lui arrivait donc souvent de sortir sans ses clés. En revenant, Il ne pouvait donc même pas ouvrir la porte principale donnant sur la rue. Souvent, il avait sonné chez Fred (le nom de mon client) pour se faire ouvrir. Ils avaient presque une entente tacite. Fred activait le déverrouilleur électrique. David entrait et venait remercier Fred de sa gentillesse. Parfois, ils prenaient un café ou une bière ensemble dépendamment de l'heure de la journée.

Ce matin-là donc, Fred ne se méfia pas et activa le bouton qui commandait la serrure électrique et prépara un deuxième café pour David. Quand on frappa à la porte, il y courut et pendant qu'il ouvrait, il commença sa réplique classique à David : « Encore oublier tes clés, Dav... ». Il n'acheva pas sa phrase. Il resta figé devant la figure souriante d'un ancien copain de classe au High School (Lycée aux USA) qui s'était vite rendu compte que Fred était gay et ne se gênait pas pour se moquer de lui devant les autres et l'humilier. Fred ne se souvenait plus combien de nuits il avait pleuré cherchant un moyen de l'éviter. Mais chaque jour ramenait son lot d'humiliations et de méchancetés. Pour survivre, il avait fini par ne plus y penser.

Mais le plus embarrassant et le plus humiliant, Stan (le nom du méchant copain) l'excitait terriblement. Il était le type même de gars qui le faisait bander au max. L'autre le savait et lorsqu'il voyait que Fred était à bout, il faisait remarquer à tout le monde que Fred avait une bosse dans son pantalon ce qui signifiait que le pédé l'adorait malgré tout. « Si j'étais pas hétéro, disait-il, ce mec là me boufferait la bite sur commande. Regardez comme il bande! » Rouge de honte, Fred tentait de s'intéresser à ses leçons et plongeait la tête dans son livre, les larmes aux yeux.

Lorsqu'il s se retrouvaient seuls tous les deux, sans la galerie de Stan, ce dernier se montrait plein de regrets et de délicatesses envers Fred allant même jusqu'à lui demander pardon et promettant de ne plus recommencer. Et Fred, naïf, ou amoureux, pardonnait. À peine une semaine plus tard, tout recommençait et les promesses étaient renvoyées aux oubliettes.

Fred resta pétrifié devant la figure tout sourire de Stan. Il ne l'avait pas vu depuis plusieurs années et s'il avait réussi à oublier les humiliations qu'il lui avait fait subir, il se souvenait toujours de son corps extrêmement désirable qui demeurait toujours un fantasme nourrissant régulièrement ses exercices masturbatoires. « Salut Fred! Long time, no see (il y a longtemps qu'on ne s'est vu). Tu es devenu un beau grand jeune homme et bien installé à ce que je vois. Tu me laisses entrer? » Fred n'eut pas le temps de répondre, Stan poussait déjà la porte et se frayait un chemin dans le loft. « Super chez toi » dit-il en jetant un coup d'œil partout à la fois.

Fred, figé, mais encore capable d'articuler quelques mots, l'invita à s'assoir_ c'était toutefois déjà fait_ et il lui offrit le café qu'il avait préparé pour David. Stan raconta qu'il avait rencontré dernièrement un copain du High School auquel il avait demandé des nouvelles de Fred_ belle tactique pour montrer que son intérêt n'avait pas diminué_ et qui s'était empressé de lui donner son adresse. Il attendait l'occasion de venir lui rendre visite. Ce matin là, n'ayant pas dormi de la nuit car il avait fait une virée dans les boîtes de Chelsea et de Greenwich, n'ayant plus un rond en poche pour un café, il avait pensé que, peut-être, son vieux copain Fred lui en servirait un avec plaisir. Chaque mot était pesé. Malgré l'absence de sommeil, son esprit était tout à fait alerte.

Gêné, Fred lui tendit la tasse de café et s'assied face à lui sur un canapé. Stan était enfoncé dans un fauteuil profond et confortable. Il raconta à Fred l'essentiel de sa vie depuis le High School_ à vrai dire il n'y avait presque rien dans cette vie_ et montra toute son admiration pour Fred qui avait bien réussi. Il s'attarda sur le fait qu'il avait toujours été convaincu qu'il réussirait et il ajouta qu'il était heureux de savoir que Fred, malgré son succès, n'avait pas perdu son affection pour lui. Pourtant, Fred n'avait rien dit de cela.

Le café terminé, il demanda la permission de pouvoir prendre une douche. Fred le conduisit à la salle de bain et lui remit une grande serviette. Quelques minutes plus tard, sans avoir fait couler la douche, Stan sortit de la salle de bain, la serviette enroulée grossièrement autour des hanches et se rassit dans le fauteuil. Il plongea dans son sac à dos et en sortit un gros joint de mari. « Il sera toujours temps de se laver, dit-il, l'important c'est de ne pas perdre l'occasion de passer un bon moment avec son vieux copain de toujours ». Il tira quelques prises sur le joint, en offrit à Fred qui n'en respira que modérément. Il allongea ses jambes devant lui, les pieds nus tendus en direction de Fred. Il se fit un long silence.

Stan remarqua que Fred regardait ses pieds fixement. L'effet du joint n'était certes pas étranger à cette fixation, mais les désirs de Fred étaient toujours là après toutes ces années et les pieds de Stan l'avaient toujours obsédé. Ils étaient longs, larges et sensuels avec de légers poils noirs et fous sur le dessus des orteils. « Tu es toujours fasciné par mes pieds, mon vieux Fred » lança Stan. « Non! répondit Fred terrifié et surpris. Je ne regardais pas tes pieds. Je regardais dans le vide. C'est à cause du joint » « Vraiment? » rétorqua Stan avec un sourire moqueur et incrédule. Il y eut un autre silence durant lequel Stan allongea davantage ses jambes en direction de Fred. « Tu sais, Fred, lui dit Stan avec une douceur incroyable, nous sommes tous les deux tout seuls maintenant. Les années ont passé et je sais maintenant que j'ai passé à côté de rares et beaux moments en ne profitant pas de tout ce que tu aurais pu m'apporter. Alors, ce matin, on peut reprendre le temps perdu. Il n'y a personne pour me faire une galerie. Personne ne pourra rire de toi aujourd'hui...et surtout pas moi! Tu as toujours eu un béguin pour mes pieds, n'est-ce pas? ... Allez! Dis-moi que c'est vrai! _ Fred baissa la tête_ Ils sont à toi ce matin. Tu peux t'amuser sans danger. Même que j'adorerais que tu les lèches. En fait, en venant ici ce matin, je ne pensais qu'à ça. J'ai dansé toute la nuit, ils sentent un peu fort, mais ils ne seront que plus délicieux. Je suis sûr que tu meurs d'envie d'y goûter. Tu me dirais le contraire, je ne te croirais pas. Allez Fred! Je te fais un cadeau pour me faire pardonner tout ce que je t'ai fait baver dans le passé. Pardonne-moi, mon ami, et viens me montrer que tu ne m'en veux pas. Viens au moins les sentir, ça va te donner l'envie d'y goûter ensuite! »

Les mots de Stan avaient toujours le même effet sur Fred. Il était enveloppé par la voix sensuelle de Stan et aussi par la beauté et la puissance sexuelle qu'il dégageait. Très lentement, méfiant et inquiet, Fred se laissa choir sur le plancher et s'approcha des pieds de Stan.

Quand la figure de Fred parvint à la hauteur des pieds de Stan c'est-à-dire sur le plancher, Stan retira un peu ses pieds et dit : « Attends! Ce sera plus cochon si tu me demandes pour les sentir. Dis-moi que tu veux sentir et lécher mes pieds, mon beau Fred! , dis-moi que tu as toujours voulu les caresser avec ta langue! » Fred recula un peu, mal à l'aise. Stan n'allait pas lâcher sa prise. Il recula encore un peu ses pieds et ajouta : « Pas de demande, pas de pieds, mon beau Fred! Et puis, je suis sûr que tu auras un grand plaisir à me le demander ...et en me regardant droit dans les yeux ». Fred leva la tête, le cœur lui battait à rompre, il était bandé au max et avait très peur. Il finit par murmurer timidement : « Je voudrais sentir et lécher tes pieds Stan! » « Je suis sûr que tu peux faire mieux, Fred. Fais une vraie grande demande! Et plus fort! Tu sais très bien que tu augmenteras ton désir et ton plaisir si tu le demandes plus fort. » Humilié encore une fois, mais dans un contexte intime cette fois-ci contrairement aux années d'école, Fred pencha la tête, mais il n'eut pas le temps de commencer sa phrase, Stan ajouta fermement : « Et regarde-moi dans les yeux! » Fred releva la tête, rouge de honte et dit : « Je t'en prie Stan, je meurs d'envie de sentir et de lécher tes pieds. Fais-moi plaisir, laisse-moi te servir! » « Beaucoup mieux », répondit Stan. Tu peux mettre ta face contre terre et t'occuper de mes pieds. »

Quand le nez de Fred arriva à la hauteur des pieds de Stan, l'odeur envoûtante de pieds sales qui se répandait dans la pièce depuis un bon moment et qui excitait grandement les narines de Fred, prit des proportions qu'il ne soupçonnait pas. Coincées dans des baskets toute la nuit sur un plancher de danse, sans chaussette, les pieds de Stan émettaient des vapeurs presque suffocantes. Les ongles d'orteils étaient un peu chargés de noir et des miettes de « je-ne-sais-quoi » glissaient d'entre ses orteils. Ils puaient. « Mets ton nez sous mes orteils, Fred et que je t'entende prendre de bonnes respirations. » Les premières sniffées de Fred produisirent presque une nausée. Constatant les hauts-le cœur, Stan lui ordonna de commencer à lécher. « Donne-leur quelques bons coups de langue Fred, ça va te remettre. Faut t'habituer mon bel ami parce qu'il te faudra bien nettoyer aussi ma queue et mon beau cul. Il y a si longtemps que tu en as envie, n'est-ce pas Fred? Mais pour avoir droit à mon cul, il faut d'abord prendre soin de mes pieds. Allez ! Au boulot! »

En entendant Stan lui annoncer qu'il pourrait aussi lui lécher la queue et le cul, Fred oublia ses répulsions et fondit sur les pieds de Stan bouffant goulument tout le jus collant accumulé sous la plante des pieds et les étranges confitures figées entre les orteils. Peu à peu, le goût et l'odeur répugnante se substituait à des saveurs toxiques extrêmement enivrantes et sexuellement terriblement bandantes.

Ces saveurs lui rappelaient les désirs de sa jeunesse quand il se masturbait en revenant de l'école fantasmant sur les pieds, la queue et le cul de Stan. Jamais il n'aurait cru ce fantasme réalisable. C'était pourtant là devant lui et il était vraiment à lécher les pieds tant désirés. Il finit même par désirer ces saveurs et délirait au milieu des effluves des pieds de Stan.

Attentif à son travail, Fred ne vit pas que Stan avait ouvert les pans de sa serviettes et affichait une grosse bite bandée sur son ventre qu'il caressait lentement en se laissant bercer par les sensations de Fred léchant ses pieds fatigués et sales. Quand il releva les yeux, une belle queue brune, large et serrée comme un concombre anglais se faisait ramoner devant lui et elle était montée comme un obélisque sur un socle de couilles géantes enfoncées dans une poche couleur sable de mer, tendue comme une outre et qui semblait pleine à fendre de jus d'homme.

Un gros gland rose foncé dominait la crête de l'obélisque et il semblait entouré d'un liquide blanchâtre et translucide que Fred ne reconnaissait que trop bien et dont il avait rêvé dans ses rêves les plus cochons. Il allait pouvoir goûter à tout ça. Soudainement, il oublia les humiliations subies, les larmes de fin de journée à l'école, les week-ends terrifiants à l'idée du lundi à venir et le tourbillon incompréhensible de ses désirs au milieu de ses angoisses. Il bandait comme jamais. Toutes les souffrances antérieures lui apparaissaient comme une longue route initiatique aboutissant à une grotte d'extase dont il poussait à présent à peine la pierre d'ouverture à coups de langues sur des pieds sales et puants.

Soudainement, Stan rabattit les pans de sa serviette couvrant ses « merveilles » d'un seul coup de main. Fred avait osé poser le regard sur ses attributs secrets alors qu'il était encore tout habillé. « Stand up! (Debout!) cria Stan de façon fracassante. And strip! (et déshabille-toi)! Nerveux et de nouveau angoissé, Fred se releva. Il enleva d'abord son t-shirt, puis son pantalon de jogging. Il ne portait plus qu'un jock strap et ses chaussettes. « J'ai dit : STRIP! » cria de nouveau Stan plus férocement. Fred enfonça ses pouces dans la bordure du jock strap et le retira en le laissant tomber à ses chevilles. « J'ai dit : STRIP! », reprit Stan avec encore plus de force. Rouge de honte et de peur, Fred retira ses chaussettes. Il était maintenant complètement nu devant Stan et affichait une pissette bandé au max au bord d'éclater tellement le sang s'était engouffré dans les tissus. Il avait une très belle queue, droite, longue et fine et normalement large. Contrairement à celle de Stan, elle était pâle et rosée. Elle sentait aussi un peu le poisson car il avait couru quelques miles et il n'avait pas encore eu le temps de prendre une douche quand Stan était arrivé. « Mets tes bras au-dessus de ta tête, le plus haut possible, lui ordonna Stan et écarte bien tes jambes. » Fred obéit.

Et Stan ouvrit de nouveau les pans de sa serviette pour révéler ses merveilleux attributs à Fred. Il regardait Fred le regarder. Il le scrutait pendant que Fred lui examinait la bite, bavant de désir. Ce premier examen dura plusieurs minutes. Puis, Stan se leva. Fred en profita pour baisser ses bras. « T'ai-je dit de baisser les bras? » hurla Stan. Instantanément, Fred releva les bras. « Tu seras puni pour ça » ajouta Stan très calmement. Stan se plaça directement devant Fred_ ils étaient presque de la même taille_ et vint mettre sa figure à deux pouces de celle de Fred qui était au bord d'exploser tant il était mal à l'aise. Tout en continuant de regarder Fred directement dans les yeux , en sortant légèrement la langue comme pour lui signifier qu'il allait bientôt l'embrasser, Stan empoigna les couilles de Fred dans la main et serra, mais pas trop fortement, juste assez pour lui indiquer qui était le maître. Il remonta la main sur sa bite et la caressa légèrement la faisant sursauter au toucher. « Il y a longtemps que tu rêves que je touche ta queue, n'est-ce pas Fred?....N'est-ce pas? » ajouta-t-il en augmentant la voix comme pour exiger une réponse. « Oui » fut la seule réponse de Fred, mais elle était complète tout de même. « Maintenant, tourne-toi, et touche tes chevilles avec les mains en écartant les jambes, mon beau Fred, ton cher Stan veut voir ton petit cul. Fred obéit encore, ne prenant pas conscience ou n'étant déjà plus en mesure de prendre conscience, que chaque obéissance à un ordre de Stan le rendait à chaque seconde de plus en plus son esclave.

Stan passa les doigts dans la craque de Fred et enfonça un peu son index dans son cul. « Oh! Il est humide et gras! Le petit garçon a eu chaud durant son jogging. Tu aimes l'odeur de ton petit cul, mon beau Fred? » lui demanda Stan, tout en dirigeant ses doigts pour les placer sous le nez de Fred et le forcer à sentir son cul. Il ajouta ensuite : « Il faut lécher tout ça, chéri, car je me suis un peu sali les doigts en fouillant dans ton trou. Lèche bien mes doigts, cher Fred! ». Fred qui avait déjà senti son cul sur ses doigts mais ne les avait jamais goûté après coup, eut encore une remontée d'acide dans l'estomac. Stan ressentit cela et ajouta : « Lèche bien mes doigts, darling, car je vais m'en servir ensuite pour les enfoncer dans mon propre cul et il ne faudrait pas mêler les saveurs. Ma nuit en disco a laissé des traces inestimables sur mon cul qui n'ont rien à voir avec quelques dépôts gras de jogging. Si tu ne nettoie pas bien mes doigts, tu vas te priver d'un rare plaisir ensuite. » Les paroles de Stan avaient un effet analgésique sur Fred. Juste penser qu'il vivrait pleinement les plaisirs imaginés dans son passé, c'était suffisant pour encourager les pires audaces. Il lécha les doigts de Stan avec vigueur semblant apprécier ce qu'il faisait à un point tel que Stan ajouta : « Tu vois que j'ai toujours su ce qui te rendait heureux mon beau Fred. »

Satisfait et les doigts propres, Stan retourna s'assoir et invita Fred à le supplier pour qu'il veuille bien le laisser sucer sa queue. Voyant maintenant ce qu'il fallait faire pour obtenir les faveurs de Stan, Fred ne se fit pas prier deux fois et sa demande prit tout de suite l'allure d'une supplication montrant qu'il attendait ce moment depuis des années.

Stan jubilait de satisfaction. Il lui commanda d'abord de s'en tenir à sentir sa queue surtout là où se trouvaient les petites lignes blanches. Puis, ses couilles et derrière celles-ci. Fred était au bord de l'extase. Enfin, Stan lui dit qu'il pouvait maintenant le lécher et ensuite le sucer mais qu'il lui fallait lécher comme si c'était l'unique friandise qu'il aurait dans toute sa vie, avec application, douceur et passion en montrant, par les bruits de respiration et de succion, qu'il vivait le rêve de sa vie. Fred n'eut aucun mal car il ne dissimulait pas. Sucer Stan était son fantasme depuis toujours. Il lécha d'abord lentement en remontant sur la hampe vers le gland qu'il contourna avec sa langue pour récupérer l'humidité de la crête. Il enfonça la pointe de sa langue dans le méat pour tirer le nectar pré-éjaculatoire et l'avaler en guise d'apéro. Puis, il refit ces mouvements plusieurs fois avant d'aller saisir la poche et les grosses couilles au complet dans sa bouche qui débordait.

Enfin, il suça délicatement chaque testicule comme pour en extirper le jus à-travers la peau. « Très bien! Tu fais très bien ça. On voit que tu adores cela et que tu es fait pour ça, » lui disait Stan en guise d'encouragement. Puis, Stan releva les jambes lentement et montra son cul à Fred. Au fond d'une large vallée brunâtre et jaune foncé, se pointait une fosse obscure aux contours mauves entourée d'un peu de poils noirs hirsutes. L'odeur était presque aussi forte que celle des pieds. Elle était toutefois différente. Les pieds sentaient l'âcre et le faisandé. Le cul se rapprochait davantage des légumes vieillis voire pourris. C'était une odeur profonde et grasse comme certains parfums orientaux qui ont passé. Encore une fois, Fred eut un haut-le-cœur, mais Stan vint à sa rescousse. Tu n'allais pas t'imaginer que j'allais te servir mon cul sur un plat tout neuf sortant de la douche. Tu as attendu trop d'années pour découvrir ce que tu pourrais trouver partout. Pour toi, il fallait du vrai, mon beau Fred. En venant ici tout à l'heure, je me demandais ce que je pouvais bien t'offrir comme cadeau. Mon cul que tu as tant souhaité voir et lécher serait le plus prestigieux des présents. Mais il fallait qu'il soit comme tu l'avais imaginé à l'école quand tu sortais le dernier de la classe pour pouvoir le regarder en me suivant derrière. » Fred était estomaqué que Stan ait remarqué et noté tout cela. C'est à croire que Stan avait pu lire dans ses pensées autrefois comme il semblait le faire maintenant. « Tu meurs d'envie de me faire plaisir, Fred, et ...de te faire plaisir aussi. Ce sera comme pour les pieds; ne respire pas trop fort au début et donne un bon coup de langue. Le goût te paraîtra si exquis que tu ne sentiras plus que l'odeur de roses fanées, celles que je gardais pour toi depuis nos années d'école.»

De si tendres paroles emportèrent les dernières résistances de Fred et il plongea sa langue dans la craque et même dans le trou de Stan croyant presque s'évanouir au milieu des fortes odeurs et de la bousculade de ses fantasmes. Il nettoya le cul de Stan avec passion et abandon, sa langue fouillant les coins et recoins.

Il nettoya les poils avec ses dents et le laissa aussi propre qu'à sa naissance. « Tu es merveilleux », lui dit Stan comme récompense. Maintenant tu vas ouvrir grand la bouche et je vais me vider les couilles dedans. Tu vas adorer mon jus. Il est épais et filandreux et j'en ai d'accumulé depuis presque une semaine. Tu auras tes vitamines pour la journée. Allez! Ouvre bien grand, mon beau Fred que ton grand ami Stan te donne enfin ce que tu as tant désiré et si bien mérité. »

Fred n'était plus qu'obéissance aux paroles de Stan. Il se pencha davantage et plaça sa bouche grande ouverte près du gland de Stan qui commença à se branler de plus en plus vite en empoignant la chevelure de Fred de sa main libre. Quand il fut au bord de jouir, il tira sur les cheveux faisant avancer la tête de force et il engouffra sa queue dans la gueule de Fred le plus au fond qu'il put. Fred étouffait, mais Stan maintenait la prise. Il tint jusqu'à la limite du raisonnable et enfin lâcha prise. Fred faillit vomir mais Stan lui ferma la bouche en disant : « Tu ne vas pas cracher ça mon beau Fred. Perdre une si riche liqueur. Dépêche-toi d'avaler! Tu respireras mieux après. » Et Fred obéit encore, soumis et docile.

Quand il eut repris sa respiration, il voulut se toucher pour éjaculer à son tour. « NON ! cria Stan très fortement. Je t'avais promis une punition. La voici : pas de jouissance maintenant. Tu jouiras quand je te le dirai et surtout ne me trompe pas, tu le regretterais longtemps. »

Il demanda à Fred d'aller chercher son slip sale laissé plus tôt dans la salle de bain et de le ramener avec ses dents en marchant à quatre pattes. Il enfila son slip après avoir fait une caresse à Fred sur la tête comme on fait avec les chiens. Puis, il manifesta son appétit pour une pizza. Il téléphona lui-même à la pizzéria de son choix, s'assied, roula un autre joint en attendant et demanda à Fred d'aller chercher des sous car il n'avait rien pour payer le livreur.

Fred s'étira pour prendre son pantalon jogging. Stan mit le pied dessus, ramassa les vêtements de Fred et les plaça dans son sac. « Tu resteras tout nu aussi longtemps que je le voudrai, cela aussi fait partie de la punition ». Fred retrouva son angoisse. Allait-il devoir répondre au livreur tout nu et en érection car il était incapable de débander?

...

Fred avait raconté tout cela presque sans respirer. Je lui ai offert un jus avant de partir et lui je lui ai donné rendez-vous pour le jeudi suivant. J'avoue que j'étais très excité après son départ. Je courus donc m'étendre sur mon lit pour me satisfaire d'une bonne branlette.

À suivre : Big Apple 8; Prochain épisode : Le livreur de pizza

ALEXANDRE

Next: Chapter 8


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